Une petite douche après une seance dur...[TERMINE] [Pv:Eichi] /YAOI!\

En rompant le baiser, Eichi pu apercevoir un grand sourire sur les lèvres du sanguin. Puis, il passa sous l’eau froide et Eichi se demanda si c’était bon pour lui, avec un pouvoir de feu. Il passa rapidement de l’eau froide à l’eau chaude qui fit apparaitre de petites plaques rouges sur les épaules du jeunot. Eichi se mordit la lèvre et le tatoué passa une main sur son épaule avant de prendre son amant par la taille. Eichi sourit et se colla contre le torse de son amant qui avait l’air d’être taillé pour lui. Eichi était tellement bien qu’il ne faisait plus attention à ce qu’il se passait autour de lui jusqu'à ce qu’il entende la voix grave de son homme :

« J'espère bien que les murs son épais...Tu as crié tellement fort mon nom que tout le bahut à du t'entendre… »

Eichi rougit et se cacha un peu plus contre le torse de son aimé. Il grogna alors, le sanguin aimait beaucoup trop se moquer de lui à son gout. Mais, il recommença.

« Je n'aurais jamais pensé pouvoir te mettre dans un état pareil...mais j'avoue que...c'est vraiment adorable de te voir dans un état pareil... »

Eichi se recula et lança un regard qui se voulait noir a son amant sans pour autant empêcher le rouge d’atteindre ses joues. Le plus jeune déposa un baiser sur la joue de son amant et Eichi sourit tendrement. Puis, le sanguin prit un air sévère et Eichi se demanda ce qu’il se passait.

« Au faites c'est qui se surveillant ? »

Les sourcils froncés et le regard dur, Gojyô avait totalement changé d’expression et Eichi riait.

« Rako-san est le nouveau surveillant. J’ai discuté un peu avec lui. Tu sais, je ne reste pas qu’avec toi. J’ai rencontré Naho au musée, James, pardon, le professeur Wilson et Natsuko sur le toit, Aya dans le hall… Je t’ai parlé de lui parce qu’il est le premier qui m’est venu a l’esprit mais de toute façon, il n’est pas mon type. »

Eichi se mis sur la pointe des pieds et embrassa amoureusement son amant.

« Et je te signale que tu as crié aussi fort que moi donc je ne serais pas le seul à avoir été entendu gros bêta. » rigola Eichi.

Il reposa sa tête sur son torse et vida son esprit. Entendre le battement du cœur du sanguin l’apaisait. Il avait peur qu’il lui arrive la même chose qu’a ses parents…

« Tu me laisseras pas hein… » demanda-t-il alors anxieux

« Rako-san est le nouveau surveillant. J’ai discuté un peu avec lui. Tu sais, je ne reste pas qu’avec toi. J’ai rencontré Naho au musée, James, pardon, le professeur Wilson et Natsuko sur le toit, Aya dans le hall… Je t’ai parlé de lui parce qu’il est le premier qui m’est venu a l’esprit mais de toute façon, il n’est pas mon type. »

Alors déjà Gojyô pensa encore heureux qu'il ne restait pas avec lui et il écouta la suite des paroles de son amant:

« Et je te signale que tu as crié aussi fort que moi donc je ne serais pas le seul à avoir été entendu gros bêta. » rigola Eichi.

L'enfant tabou sourit c'était vrai pour la première fois de sa vie il n'avait jamais autant apprécier un de ses ébats ainsi. Le jeune homme sourit donc de nouveau à son comparse avant de lui répondre amusé:

"-peut être bien mais tu couvrais ma voix, je suis même sur que tu ne t'en ai pas rendu compte..."

Le plus jeune des deux hommes sourit et repassa un mains sur la plaque rouge qui demeurait toujours sur son épaules. Le tatoué savait bien que l'eau froide ne faisait pas bon ménage sur sa peau mais dés fois il aimé sentir, le bien que les autres ressentait à se contact...Mais il ne trouvait aucun plaisir lui juste de la douleur. Le plus jeune sortit par la suite de ses pensées futile pour recentré son attention sur le noiraud qui venait de parler d'une voix bizarre:

« Tu me laisseras pas hein… » demanda-t-il alors anxieux

Gojyô baissa légèrement la tête pour voir son homme et il lui sourit de façon réconfortante.

"-Pourquoi je te laisserais, y a pas de raison que je te laisse..." , il sourit et continua d'un ton assez amuser, "-Puis comment veux tu que je te laisse...Déjà faut se débarrasser de moi, je te dit pas l'enfer...Ensuite faut que quelqu'un arrive à me toucher...puis...Tu crois franchement que quelqu'un peut me faire du mal quand je possède ça et mon pouvoir?"

Le ÇA en question apparut bien vite. L'enfant tabou avait arrêter l'eau et dans un nuage de flamme une faux d'un mètre soixante vint dans la main droite de l'homme. Il sourit à Eichi et la fit disparaitre. Le tatoué regarda son amant et lui sourit de nouveau.

"-N'est pas peur je risque rien puis tu sais dans la vie il ya toujours quelque chose qui change"

Le jeune homme avança pour embrassait son comparse mais il glissa malencontreusement et se rattrapa tant bien que mal...Il regarda Eichi d'un air bête:

"-..... ^^' "

Le plus jeune baissa la tête et sourit au noiraud.

« Pourquoi je te laisserais, y a pas de raison que je te laisse... » il sourit et continua d'un ton assez amuser, « Puis comment veux tu que je te laisse...Déjà faut se débarrasser de moi, je te dis pas l'enfer...Ensuite faut que quelqu'un arrive à me toucher...puis...Tu crois franchement que quelqu'un peut me faire du mal quand je possède ça et mon pouvoir ? »

Eichi soupira de soulagement jusqu'à ce qu’une immense fumée envahisse la cabine de douche pendant que le sanguin éteignait l’eau. Eichi, pas rassurer pour un sous se colla un peu plus contre le corps nu de son amant avant qu’une faux presque aussi grande que le noiraud. Il rassura alors Eichi d’un sourire avant de la faire disparaitre.

« N'est pas peur je risque rien puis tu sais dans la vie il ya toujours quelque chose qui change »

Le tatoué s’avança pour embrasser le noiraud qui ferma alors les yeux. Mais il n’entendit que le bruit sourd d’un corps sur le sol. Il ouvrit alors les yeux et vit son amant étalé sur le sol un air bête sur le visage.

« Mon dieu Gojyô ça va ? » s’inquiéta d’abord le noiraud

Puis, ravisant la situation, le plus vieux explosa de rire. Pas que la chute du plus jeune soit drôle mais la tête qu’il faisait était hilarante. Le sanguin était nu sur le carrelage et le regardais tout penaud d’avoir chuté à ce moment la.

« Excuse moi… c’est nerveux » articula Eichi entre deux rires.

Puis, il se calma et posa tendrement ses lèvres sur celles de son homme.

« C’est ça que tu voulais ? » demanda-t-il malicieusement

Gojyô lui répondit que c’était bien ce qu’il voulait et se releva. Eichi se colla automatiquement contre le mur lorsque son amant posa son avant bras au dessus de la tête du noiraud le détaillant durant plusieurs minutes. Eichi se mordit la lèvre alors que le tatoué reprenait la parole :

« J'aimerai te demander quelque chose...Ce soir ou demain soir je vais aller jouer au mah-jong et au poker dans un endroit que je connais bien...Il y a peut à côté de la pièce ou on joue il on fait une boite de nuit...Le gérant et assez sympa et on se connaît bien...Tu voudrais venir avec moi ? »

Le sanguin se frotta l’arrière du crane un air gêné sur le visage. Eichi voulait connaitre tous les passe-temps et toutes les passions de son homme. Mais le jeu… Il avait peur de le voir devenir addict. Seulement, il n’avait pas le droit de l’empêcher de pratiquer ce qu’il aimait. Et si pour être avec lui il devait l’accompagner, il le ferait.

« Si ça ne te conviens pas je comprendrais ce genre d'endroit ne plait pas forcement à tout le monde... »
« Et bien, ce n’est pas ma tasse de thé certes, mais je veux bien t’accompagné. »

Le plus vieux sourit a son amant. Il était heureux qu’il tienne compte que ce qu’il pensait.

« Mais… Tu n’es pas accro au moins… Parce que si en plus de te faire arrêter le clope je dois t’empêcher de trop jouer je vais avoir du boulot. » ajouta le plus petit d’un air moqueur.

« Ne t'inquiète pas je ne suis pas accro je joue de temps à autres mais pas au point de devenir un fana des jeux de hasard....Quand j'ai appris à jouer avec ma mère, elle ma appris à le faire de façon modéré... »

Eichi eu un petit soupire de soulagement. Il savait très bien comment n’importe qu’elle addiction pouvait se terminée. Aussi bien à une personne qu’a un objet ou une idée. Le sanguin repris la parole d’une voix calme.

« Alors déjà me faire arrêter mon pauvre tu as vraiment la foi de vouloir essayer cela...Je te préviens de suite que tu n'y arriveras surement et assurément pas mais bon tu peux quand même essayer....Qui ne tente rien n'a rien comme on dit. »
« Oui, mais ca c’est parce que tu n’as jamais eu une plaie comme moi sur le dos pour t’empêcher de fumer. » murmura-t-il

Le plus jeune ouvrit la cabine faisant pousser un grognement au plus vieux. Ils étaient bien la, dans un cocon ou plus personne ne comptait. Personne d’autre qu’eux. Le tatoué s’essuya et nettoya les plaies qui étaient apparue sur son épaule. Eichi n’aurait pas du le laisser rester aussi longtemps sous l’eau. Il brula ensuite les plaies pour les cautérisée et s’attacha les yeux en laissant deux mèches retomber. Puis, il lança une serviette à Eichi qui l’attrapa au vol.

« D'ailleurs tu sais de plus en plus sur moi mais j'aimerais aussi découvrir un peu plus tu aime lire d'accord mais quelle sont les autres activités que je peux découvrir avec toi?? »
« Et bien… J’aime lire et écrire. J’aime voyager. Je n’ai pas de réel autres passe-temps mon ange. » laissa-t-il échapper en s’essuyant

Eichi n’avait pas réellement fait attention à ce qu’il avait dit. Il commença à s’habiller.

« J’aime aussi cuisiner. »

Le sanguin semblait réfléchir. Eichi haussa les épaules et ferma son jean. Puis, il sentit son tatoué lui déposer un baiser sur le front et commencer à lui sécher les cheveux. Le noiraud sentit l’odeur pestilentielle de la cigarette et bouda. Il allait vraiment falloir qu’il arrête. Son homme reprit alors la parole d’un air banale.

« Eh bien une fois je cuisinerais avec toi...Tu m’apprendras je suis un vrai imbécile en ce qui concerne la cuisine...Moi je suis douer en science physique, math et aussi la musique...Après tu connais déjà le sport... »

Il termina d’essuyer les cheveux du noiraud et le prit par la nuque pour l’embrasser. Il caressa la peau du plus vieux et tira une bouffée de cigarette. Eichi attrapa alors la clope et l’écrasa dans un lavabo.

« Je t’ai dis que j’allais plus te lâcher. Et puis pour la cuisine, tant que tu laisses ton pouvoir au placard, tu peux venir mon ange, la cuisine c’est comme le vélo, tu en fais une fois, ca ne passe pas, deux fois, ca commence à ressembler à quelque chose, trois fois, c’est mangeable, et au bout de la quatrième c’est présentable. T’es pas plus bête qu’un autre t’y arrivera. » avait-il dit en passant sa chemise noire.

Il déposa un chaste et amoureux baiser sur les lèvres du plus grand et passa la porte en souriant.