# Salle 120 # Pour un premier cours... [PV Masao]

Kenichi était arrivé hier, mercredi. Il avait prit possession de son appartement et avait déposé une annonce de colocation. Bien qu’il ait un héritage conséquent, Ken ne voulait pas le dilapider. Il avait fait quelques placements et avait de quoi vivre normalement.
Aujourd’hui il donnait son premier cours. Sa matière était une option pour les élèves spéciaux et normaux. Seulement ceux qui le voulaient pouvait participer aux cours de français.
Ce qu’il ne comprenait pas c’était les cours individuels. Ca donnait beaucoup plus de travail aux professeurs mais en même temps c’était bénéfique pour mieux connaitre les élèves.
Dix heures, il avait un cours dans trente minutes avec un élève.
Il coiffa ses longs cheveux d’ébène et les attachas en queue de cheval. Quelque chose qu’il faisait plus facilement que sa natte habituelle.
Il prit ses affaires et rejoins sa salle de classe. La 120.
Il s’installa et attendit 10h30 patiemment en retravaillant son cours.
Son élève arrive avec quelques minutes d’avance et frappa deux coups secs à la porte.

« Entrez. » dit-il d’une voix forte.

voila.... On y était arrivée, mon 1er cours. C'était un cour particulier donc, j'avais décidé de mettre un des nouveaux vêtement que je m'était achetait, un t-shirt épais orange pratiquement de la même couleur que mes cheveux rayé jaune pale. J'avais nouer un foulard au teint sombre autour de ma taille et pour pantalon un simple tissu noir m'avais suffit. J'avais pris mes habituelle chaussure noir et avais même rajouter a tous ça un peu collier qui me donner un peu l'air d'un sauvageons. Mais dans tout ça, quelque chose faisait taches... Mes lunettes de soleil. je pris quelque affaire afin de prendre des notes et les mis dans un petit sac que je lancer par dessus mon épaule. J'étais parti en avance, car j'aimais apprendre et que je ne voulais pas être en retard pour mon 1er cours. Après quelque détour, j'arrivea quelques minutes en avance, je frappa la porte de deux coup sec et attendit.

Une voie forte venait de retentir de l'autre cotés de la porte, faisant un petit bon. Je finit par saisir la poignet de la porte et par la tournée. La porte 'ouvris silencieusement, me laissant voir mon tout nouveau professeur, un garçon brun avec les cheveux attaché. je m'inclina poliment et dit:

"Bonjour, je suis Masao tsurugi, je viens pour le cours..."

j'entourais mon doigt avec mon collier, l'air un peu stressé, ce que j'étais d'ailleurs, après ça, je me mis a jouer avec mon bracelet noir et finalement je me mis en face de mon professeur, attendant qu'il me demande de m'assoir.

[il y a son vêtement dedans ^^ le 1er: http://www.zerochan.net/239559]

Un jeune homme entra. Il n’était pas très grand, dans la norme. Ses cheveux attirèrent tout de suite le regard du jeune professeur. Il ne s’étonnait plus de rien après son passage ici quelques années plutôt, la couleur devait être du au pouvoir qu’il devait posséder, de ce que lui disait la feuille qu’on lui avait remise, son élève du matin était un élève spécial. Ce serait plus simple au gout du professeur mais il faudrait tout de même vérifier par lui-même, on n’était jamais à l’abri d’une erreur informatique. D’un rouge sang, la chevelure était magnifique et attirait le regard. Il le détailla quelque instant et se dit qu’il serait vraiment son type d’homme… Avant de se secouer brutalement la tête en se disant qu’il n’avait pas le droit de sortir avec son élève. Kenichi remarqua que le jeune homme portait des lunettes de soleil. Il ne pourrait pas lui faire cours dans ses conditions par contre. Kenichi se leva et se dirigea vers lui, le noiraud faisait une tête de moins que son élève.

« Bonjour, je suis Masao Tsurugi, je viens pour le cours... »
« Le cours de français. Je suis Kenichi Suroi et je serais ton professeurs a partir d’aujourd’hui, n’hésite pas a me poser des questions, je suis la pour y répondre. »

L’élève avait l’air légèrement stressé, Ken ne savait pas pourquoi mais au moins, il ne le ferait pas tourner en bourrique. Il lui proposa de s’installer face à face. Le bureau était situé sur une estrade mais il n’aimait surplomber les élèves. La classe était composée de trente pupitres et était bien plus apte à les recevoir en cours particulier que cet immense bureau. Ken avait scellé deux tables de façon à ce qu’ils puissent discuter tranquillement.

« Ou vous étiez vous arrêté en français Tsurugi-Kun ? » lui demanda-t-il en rejoignant sa place. « Juste une chose avant de commencer, je me fiche de ce que vous êtes autoriser ou non à faire dans les autres classes mais ici vous ôterez ces lunettes en entrant s'il vous plait. »

Il lui tendit son cahier en soupirant.
Eichi revient sur son impression, finalement il ne serait peut être pas si simple de faire travailler cet élève. Il voulu essayer de le mettre à l’aise.

« Alors, Tsurugi-Kun, je ne suis pas là pour t’embêter. Si tu es dans mon cours c’est que tu l’as voulu, personne ne t’as, normalement, forcé. Je vais tâcher de rendre ces cours les plus intéressant possibles mais de ton côté essaye de faire de ton mieux. Si tu as des œuvres que tu aimerais étudier disent le moi, je verrais si je peux l’insérer à ton programme. »

Il ouvrit le cahier et le parcourra. Le jeune professeur n’avait à lui apprendre beaucoup de chose au niveau de la grammaire et de la conjugaison.

« Pareil si tu as un doute sur un temps ou un verbe demande moi. Nous ne seront que tous les deux donc je pourrais répondre à n’importe laquelle de ces question. »

Ken leva enfin les yeux vers lui et il comprit pourquoi il portait ces lunettes, ce ne devait effectivement pas être simple. Il aurait voulu le savoir avant pour éviter de se mettre un élève à dos dès le premier jour. Il se mordit la lèvre, tic qu’il avait adopté depuis quelques temps, et sortit ses affaires.

« Tu as une préférence pour le déroulement du programme ? » lui demanda-t-il en sortant une feuille. « Voici les différents chapitres que nous allons aborder cette année. Tu as l’examen de français en fin d’année non ? »

La feuille comportait quatre titres : Romans, Théâtre, Poésie et Persuasion et délibération.

« Tu peux choisir l’ordre dans lequel tu veux que nous les étudions et me donner quelques idées de titres pour diversifié les cours et les rendre plus intéressant pour toi. »

Il espérait de tout son cœur que ça ce passerait bien avec ce jeune homme.

Je le savait bien que les prof n'était pas la pour me mettre des bâtons dans les roues mais il m'avais demander exactement ce qu'il ne fallait pas me demander de faire. Quand je n'avais pas mes lunettes, j'avais toujours l'impression d'être nu, la preuve était que par pure instinct, je continuer a remonter des lunettes qui n'était plus sur mon nez. J'écouta le professeur, je ne disait rien et ne faisait qu'approuver ses mots d'un signe de tête un peu distrait. Il me tendis une feuille avec le programme. Je la regarda un moment tendis qu'il me proposait d'établir un ordre:

Je préférerais commencer par la poésie et le reste comme bon vous semble

Pas que j'adoré la poésie, au contraire, ca me lassait déjà alors je préférer en finir le plus vite possible avec ce sujet la. C'est vraie que l'ambiance était refroidi, je ne disait que ce qui devait être dit et rien de plus, la tension était plus que palpable.



[pas d'idée X_x]

Ca faisait un quart d’heure qu’ils avaient commencé. Kenichi appréciait moyennement la poésie. Certains textes étaient beau, certes, mais les histoires contée ne contenait presque pas de rebondissement et était souvent liée a la guerre, à la mort ou à l’amour. Il l’enseignait parce que c’était dans le programme mais il préférait de loin étudier le théâtre ou le roman. La tension était palpable et l’élève ne participait que très rarement, enfaite il ne répondait qu’aux questions que Ken lui posait directement.
Ken était dos à lui et écrivait quelque chose au tableau

« J’en ai assez ! Je me suis excuser, j’ai été poli et gentil alors pourquoi ce garçon n’y mets pas du sien ! Je ne peux rien lui apprendre s’il ne veut rien savoir. »

Kenichi était blasé. Autant l’élève prenait des notes autant il ne disait rien. Le jeune professeur prit une décision qui aurait, de toute façon, un effet sur la suite des cours.

« Très bien Tsurugi-Kun, on arrête la pour aujourd’hui. Je ne peux pas t’enseigner comme ça alors nous allons procéder autrement. Nous allons faire connaissance. Je m’appeler Kenichi Suroi comme je te l’ai dis plus tôt, j’ai 25 ans et je suis professeurs de deux matières dans cette école. Je vis en collocation avec Mademoiselle Ragword, le professeur de musique. A toi. »

Le silence qui suivie la tirade du noiraud fut pesant pour lui. Il n’arrivait pas à décrypter le regard que lui lançais son élève. Avait-il fait un bon choix ? S’était-il lamentablement planté ? Il soupira et reprit la parole.

« Pourquoi as-tu prit l’option français ? » soupira-t-il

Il lui indiqua une fois encore qu’il s’appelait Masao Tsurugi. Il apprit qu’il avait dix huit ans et qu’il était pensionnaire. Puis, il répondit qu’il faisait l’option français pour mettre toute les chances de son côté… Je le regardais. Quelles chances ? Je décidais de passer outre et entreprit de lui expliquer ma fonction.

« Je suis ici pour t’aider aussi bien scolairement qu’amicalement. Tu peux venir me parler de toi, de tes problèmes de ton histoire quand tu veux. Je serais toujours présent. J’aimerais, peut être pas qu’on devienne amis, mais que nos relations professeur-élève s’améliore. Je me suis peut être mal exprimé lorsque je t’ai demandé d’enlever tes lunettes. Je peux facilement voir ce que pense un élève de mon cours lorsque je regarde ses yeux. Si tu porte des lunettes, je ne pourrais jamais savoir ça de toi et ca me rendra nerveux et, dans ce cas la, mon cours sera totalement merdique. »

Ken avait dit ce qui lui passait par la tête. L’élève qu’il avait devant lui l’intimidait. Non pas part sa chevelure ou par ses yeux mais parce qu’il avait l’air d’avoir eu un passé très difficile et que sa douleur se reflétait dans son regard. Mais ca lui donnait un éclat magnifique. Il le trouvait beau. Kenichi se perdit quelques secondes dans son regard avant de s’en rendre compte. Il rosit légèrement et toussota.

« Parle-moi de toi. De ce que tu aimes ou pas. »

Il détourna le regard apparemment gêné et répondit simplement a la question en disant qu’il aimait le sport et la viande ainsi que les animaux et la lecture. Plutôt un bon point pour quelqu’un ayant prit l’option français. Il finit sa réponse en disant qu’il n’aimait pas les gens qui jugeaient sur les apparences.

« Je comprends ca. Peut être pas autant que toi, je ne connais pas ton histoire donc je ne peux pas juger mais, lorsque j’ai perdu mon bras, beaucoup de personne ont coupé les liens avec moi parce qu’ils ne voulaient pas d’un mutant pour ami. Et par la suite, j’ai toujours eu des problèmes avec les gens car ils n’observaient que ma prothèse et se foutait de savoir ce que ca me faisait. Je sais a quel point ça peut être cruel. » expliqua-t-il calmement au jeune homme. « Je ne voulait pas te froisser lorsque tu es arrivé tout à l’heure, j’ai l’impression de radoter » dit-il en émettant un rire nerveux « Je… Comment te dire ça. Je voulais qu’on ai de bonne relation pour commencer. Je ne pense pas qu’on puisse avoir de bonne relation avec une personne qui se cacher derrière une paire de lunette, quand bien même il aurait une très bonne raison de porter ces lunettes. »

Eichi leva les yeux vers son élève.

« Je m’enfonce encore non ? »

Il soupira et se laissa tomber contre le dossier de sa chaise.

« Je suis un bien piètre professeur. » souffla-t-il en se passant une main dans les cheveux.

Le jeune l’avait écouté déblatérer son histoire. Il ne savait pas réellement ce qui lui avait prit de lui raconter ce qu’il avait vécu mais ca avait eu l’air d’attirer son attention, c’était déjà ça. Le jeune homme soupira. Ok, Ken a compris le message, il s’enfonce complètement, il n’eut pas le cran ou le courage de répondre, quand bien même il ne l’aurait pas punit, il n’avait pas à le faire et c’était compréhensif. Apparemment gêné de l’avoir mis en boule, il reprit d’une voix intimidée.

"J’ai jamais dit ça "

Ken le regarda blasé. Il savait bien qu’il ne l’avait pas dit. Evidement, il n’a rien dit depuis le début du cours. Puis, il reprit plus sur de lui a ses yeux.

"Moi tout ce que je veux, c'est qu'on me traite comme un humain et pas ... comme un monstre sanguinaire..."

Ken le regardai perplexe. Un monstre sanguinaire ? Il ne pensait pas avoir dis ça ni même l’avoir pensé.

« Ecoute Tsurugi, je ne pense pas que tu sois jugé dans cet école. Tout le monde ici peut être considéré comme un monstre, un sorcier ou une menace si les personnes sans pouvoir venaient à l’apprendre. Maintenant, je reconnais que tes craintes sont fondées. Mais tes yeux sont magnifiques, au lieu de les cacher tu devrais t’en faire un atout. »

Ken rosit. Oui, il trouvait le jeune homme beau. Il était parfaitement proportionner, il avait une bonne taille pour son âge et ses yeux étaient, sans vouloir le flatter ni quoi =que ce soit, réellement magnifique. Et ses yeux avaient l’air si doux qu’on aurait pu vouloir y glisser les doigts. Ken secoua la tête. Mais à quoi pensait-il ? Tsurugi était un élève. Il ne devait pas avoir ce genre de pensée pour un élève, quand bien même il serait plus âgé que lui !

« Ici, personne ne te jugeras. Et si quelqu’un le fait, répond lui seulement qu’il devrait avant tout se regarder dans un miroir. » ajouta-t-il d’une voix étrangement tendre.

Le plus jeune semblait réfléchir à ce que lui avait dit Ken. Ce dernier rougit. Après tout, il n’avait dit que ce qu’il pensait et c’était ça qui le gênait le plus. Son élève lui plaisait, et ce n’était pas bon pour son matricule de prof. Il inspira une grande bouffée d’air et reporta son regard sur l’adolescent devant lui qui le remercia en bégayant.
Ken le regarda surpris. Pourquoi le remerciai-t-il ? Il n’avait fait que dire la vérité ! Il avait l’ait plus gêné qu’avant. Il reprit alors la parole.

« Je sais que les cacher n'est pas le meilleur des moyens mais vous savez, quand vous voyez une enfant toute mignonne, une glace à la main, que vous lui souriez et que la... »

Il s’arrêta. Ken, avait sentit sa voix trembler faiblement et des larmes perlaient au coin de ses yeux. Le cœur de Ken se serra. Il ne devait surement jamais parler de sa. Et ses parents ? Qu’en pensait-il ? Mais Ken était bien placé pour savoir que dans certains cas, les parents n’ont aucuns pouvoirs et renient leurs enfants. Le jeune homme aux yeux de feu reprit.

« … et qu'elle se met à hurler de peur en hurlant a sa maman qu'elle vient de voir un horrible monstre, ça fais mal... »

Ken le vit gêné. S’en était trop. Il se leva et passa par derrière le jeune homme avant de passer ses bras autour du cou du plus jeune.

« Ecoute Tsurugi, je sais bien que ce n’est pas simple d’être différents. Je ne le sais que trop bien. Maintenant, je te conseille d’assumer pleinement tes yeux et tes différences, te former une carapace qui pourrait te protéger des gens odieux et des personne incompréhensives. Mais ne pas les cacher. Ils sont trop beaux pour ça. » dit-il plus tendrement qu'il ne l'aurait voulu.

Ken resta dans cette position encore quelques instants avant de se rendre compte de ce qu’il avait fait et de se retirer d’un seul coup.

« Je suis désolé » s’excusa-t-il gauchement « Je ne n’aurais pas du faire ça. »

« Mais putain de merde Ken ! Qu’est ce qui te prend ! C’est un enfant. Il a… 18 ans… 19 à tous casser… Tu ne peux pas avoir une relation avec un élève… Mais il est si beau… ses yeux rouges sont magnifiques et ses cheveux sont doux et soyeux. Il sent bon et puis il est bien battis »

Kenichi se secoua la tête pour chasser ces idées de sa tête. Il avait été trop loin… Mais il en voulait plus. Sauf que le jeune homme n’était le genre à l’allumer en plein cours. Ken devrait s’y attelé. Il prit alors un petit sourire en coin lorsqu’il entendit le plus jeune bégayer qu’il essayera de ne plus cacher ses yeux. Il s’approcha alors de son oreille et lui susurra d’une voix suave.

« Je suis bien content que tu suives mes conseils mon petit Tsurugi. Si tu as besoin d’un cours en plus, tu n’auras qu’à venir chez moi, j’ai tout ce qu’il faut pour t’éduquer là-bas. »

Il termina sa phrase au moment ou la sonnerie retentit. Il se dirigea vers le bureau et lança un clin d’œil au sanguin avant de sorte de la classe. Au diable les règlements, le jeune homme l’attirait alors il ferait tout pour que ca marche pour une fois !

Mon professeur semblait étrangement dans ses pensés, je le regarder, encore troublés de ce qui venait de se passer. Cela faisait un bon moment, qu'on n'avais pas eu un geste aussi tendre pour moi même ma mère, ça faisait pas mal de temps qu'elle ne m'avais pas pris dans ses bras pour me serrer fort dans ses bras. Le faite que se soit un beau garçon, bien que professeur qui est se geste envers moi avais de quoi m'émoustiller. J'entendis la cloche sonnait, je me mis doucement a ranger mes affaire, je pris mon planning pour regarder ce qui me rester puis regarda le professeur. Je m'assis sur mon bureau, mon sac mis en bandoulières. Il était en train de me proposer un cours chez lui au cas j'ai besoins d'un cours en plus.

Il y avais des fois, ou rire de moi était légitime, comme à l'instant présent ou je ne me rendis pas compte du rentre dedans qu'il me faisait. C'était pourtant claire et pas cacher mais je ne me rendis compte de rien: du Masao tout craché. Dans ma tête, je ne voyais juste que: un cour en plus ne me fairait pas de mal, et si je veux réussir dans ma vie, il vaux mieux avoir plus de cours que de détente. Cette pensée en tête je sourit et lui dit:

"Je vous remercie, ce serait avec plaisir, je vous passe mon numéro de téléphone, nous pourrons convenir d'une date de cours."

Je pris un morceau de papier et un crayon et griffona mon nom ainsi que mon numéro de téléphone.Je lui tendis le bout de papier et me dirigea vers la porte que j'ouvris. Une fois sorti de la piéce, je m'arrêta et me retourna et dit:

"Humm au faite Monsieur, je ne suis pas ... Petit"

Je sourit au brun et rigola joyeusement avant de lui souhaiter une bonne journée et de refermer derrière moi la porte de la salle de classe, sans me douter d'ou j'allais, droit vers quelque chose que je n'avais encore jamais éprouver. Un sorte de roméo et juliette yaoi.



[finit, je te propose de recommencer un rp ^^ chez toi ^^, je t'envoie un mp ce serat plus facil XD]