Un endroit bien étrange...[Pv: Eichi] [TERMINEE]

C'était le soir la journée avait était longue à vrai dire. Il l'avait passé ensemble à vagabondé et le reste enfin. Le tatoué avait voulu passer dans les douches et c'est ce que les deux jeune homme avait fait. Gojyô et Eichi avait quitter les douches de l'établissement depuis un moment. Sur le chemin l'enfant tabou avait essayer de savoir qui était un peut son homme. Le connaître plus quoi. Puis il avait essayer de le faire rire aussi. Finalement au bout de quelque heure il arrivèrent devant la porte de la boîte de nuit. Gojyô se présenta devant le videur qui était plus petit que lui et lui parla un instant. Le videur lui dit donc d'entrée en lui faisant un sourire. Gojyô y répondit et pris Eichi par la main. Quand il arrivèrent à l'intérieur le sanguin alla trouver son ami, proprio de l'établissement et il les mena dans la salle ou était les trois autre joueur. Gojyô salua le premier en lui serrant la main, de même pour le deuxième et il fit un baisé sur la joue au troisième. L'enfant tabou alla ensuite s'asseoir en prenant son petit ami sur les genoux. Il distribua et le troisième regarda Gojyô avec un sourire inhabituel et finit par dire:

Troisième homme: "-Sa faisait longtemps que l'on t'avait pas vu mon joli...Alors tu as trouver un homme...c'est dommage pour lui...Il te connait au moins?"

Le tatoué soupira et ne répondit pas à l'homme. Il regarda ses cartes et ne remarqua pas que l'homme en question était maintenant derrière lui et Eichi. Il passa ses bras autour des épaules de Gojyô et commença à caresser le torse du jeune homme. Le plus jeune ne réagit pas et continua à jouer sans rien dire. Mais malheureusement pour lui, il avait oublier à quelle point pouvais avoir peur Eichi et surtout être jaloux. En un instant Gojyô reçu quelque chose à la figure et lâcha ses cartes. Il fut sonné pendant un instant et remarqua ce qu'il venait de se passer. L'enfant tabou se leva et renversa par la même occasion l'homme qui l'avait en quelque sorte tripoter sans qu'il ne dise rien. Ensuite il attrapa son amant par le bras et le bloqua contre le mur. Ils venaient à peine d'arriver tout les deux que déjà c'était le bordel. Gojyô savait qu'il n'aurait pas du amener le noiraud, pourtant il l'avait fait. Il savait bien que cette homme faisait toujours la même chose mais que lui ne réagissait pas, n'étant pas intéressait. Gojyô s'en voulait intérieurement de l'avoir amener. Il bloquer toujours son amant contre le mur et finit par osé la voix pour passer au dessus de la sienne:

"-Calme toi!!! Quesque tu as?!"

Gojyô regarda derrière lui d'un regard noir les trois hommes passèrent dans la salle qui était à côté et lui firent signe qu'il reviendrais après la tempête.

Ils avaient passé la journée ensemble à se balader. Ce n’était qu’au crépuscule qu’ils s’étaient séparés pour se retrouver à la nuit tombée. Eichi appréhendait cette sortie. Les boîtes de nuit n’avait jamais été son truc et il avait un peu peur. Sur le chemin, son tatoué n’avait pas cessé de lui poser des questions. Sur tout et n’importe quoi. Une façon comme une autre de connaitre le noiraud. Ils arrivèrent finalement devant la porte de la boîte. Eichi se mordit la lèvre. Il ne lâchait plus la main de son homme, hors de question de rester seul là-dedans. Le sanguin discuta avec une armoire à glace plus petite que lui avait de sourire et de les faire entrer. Ils se rendirent directement dans une salle au fond de l’établissement. Il serra la main aux deux premiers avant d’embrasser le dernier sur la joue. Eichi fronça les sourcils et sentit une pointe de jalousie l’envahir. Il lança un regard noir à l’homme et sentit que le tabou le faisait s’assoir sur ses genoux. Son homme distribua et Eichi regardait toujours le troisième homme d’un regard mauvais. D’ailleurs le sourire de celui-ci ne le rassurait pas le moine du monde

« Sa faisait longtemps que l'on t'avait pas vu mon joli...Alors tu as trouvé un homme...c'est dommage pour lui...Il te connait au moins? »

Le plus jeune soupira et ne répondit pas à l’homme. Eichi tiqua. « Mon joli » ? Non, finalement il ne l’aimait pas du tout ce surnom ! L’homme se leva et passa derrière eux en lançant un regard moqueur à Eichi qui ne le quittait pas des yeux. Il enlaça alors le sanguin. Eichi eu un petit sourire en coin pensant que le géant le repousserais mais se désillusionna lorsqu’il vit qu’il ne faisait rien. Même lorsque le blond (le troisième homme) commença à lui caresser le torse, le sanguin ne bougea pas. Eichi avait mal. Mal au cœur. Il s’était confié à lui, il l’aimait et lui, il s’en foutait comme de sa première chaussette. Eichi prit le premier truc qui lui passa sous la main, c'est-à-dire une poignée de jetons, et la lui lança en pleine figure avant de sortir en courant. Il ne vit pas tout de suite qu’il avait le plus jeune sur les talons. Il l’attrapa par le bras et le plaqua contre un mur. Eichi pleurait, son cœur lui faisait mal et il n’avait qu’une envie c’était de partir d’ici. Il fuyait le sanguin du regard jusqu'à ce qu’il entendit la phrase que le géant aurait mieux fait de taire.

« Calme-toi!!! Quesque tu as?! »

Le sanguin lança un regard vers l’arrière ce qui énerva encore plus le noiraud.

« Ce que j’ai ? Rien ! » lâcha-t-il froidement « j’adore voir mon homme se faire tripoter par les autres sans qu’il ne dise rien… Et peut être même apprécie. »

Eichi avait dit ça sur un ton froid emprunt de douleur, de colère et d’amertume.

Le plus jeune donna un coup de poing dans le mur en se mordillant les lèvres. Eichi ne voulait pas voir son regard car il avait peur d’y trouver les sentiments du jeune homme à l’égard du blond. Il senti alors son amant lui redresser la tête avec force et douceur et lui ordonna de se taire avant de lui dire que ca lui faisait mal de le voir pleurer pour rien. Eichi tiqua sur le rien. C’était peut être rien pour lui mais pas pour le noiraud. Il lui affirma ensuite ne pas avoir apprécié. C’était déjà ça. Puis il lui apprit que sa mère lui avait dit de passer outre tout cela avant de dire qu’il se foutait de l’homme en question. Eichi sentit quelque chose tomber sur sa main, le géant avait les larmes aux yeux. Il se mordit la lèvre en pensant finalement avoir fait une bêtise. Le plus jeune prit le visage d’Eichi entre ses mains et l’embrassa pendant de longues secondes. Puis, il baissa la tête et annonça d’une voix tremblante.

« Tu crois que si je me foutais de toi j'aurais couché avec toi? Tu crois que je t'aurais écoute lors de l'entrainement? Tu crois que je t'aurais emmené avec moi? Et surtout...Surtout... »

Puis, il s’éloigna et attrapa l’autre homme par la nuque avant de l’amener devant Eichi. Il le souleva et Eichi se raidit. Qu’allait-il faire. Le blond amorça un mouvement vers Gojyô qui le balança contre le mur. Eichi s’en décolla et s’avança vers le sanguin. Une boule de feu jaillit alors de la main du plus jeune et Eichi comprit alors toute la colère qu’il devait éprouver. Il prit son bras pour l’empêcher de faire une bêtise. Il lança un regard à Eichi.

« Je t'ai promis de ne pas te laisser...Et toi tu doute et tu m'envoie des jetons à la gueule!!! Alors que je t'aime!!! Tu me prends pour qui sérieusement...Tu vois cette abruti là...Je...Merde à la fin!!! Je n’arrive pas à croire que tu crois que je suis comme ça...!! »

Eichi pleurait a grosse larmes. Il n’avait pas voulu ça, et tout était de sa faute. Il n’aurait jamais du venir ici. Jamais. La boule de feu disparu et le plus jeune se laissa glisser contre le mur. Le blond quitta la pièce en courant et un silence l’envahit. Eichi se baissa et se glissa finalement dans les bras du plus grand en pleurant.

« Je ne voulait pas ca. Je ne pense rien. Mais voir cet homme te toucher sans que tu ne réagisses m’a complètement chamboulé. J’aurais voulu le tuer a ce moment la. Je… Je t’aime mais si tu veux agir comme ça ne m’emmène pas avec toi, parce que ca fait trop mal. Je veux être le seul à pouvoir te toucher, t’embrasser et le seul a qui tu confierais tout. J’ai confiance en toi mais je n’ai pas confiance en les autres… Et ca me tue de l’admettre mais j’ai été tellement jaloux à ce moment que j’aurais voulu remonter le temps pour te dire non lorsque tu m’as demandé de venir. »

Les larmes avaient affluées durant ce monologue. Il se redressa un peu et déposa un baiser sur la joue endolorie du plus jeune.

« Je suis désolé… »

« Je ne voulait pas ca. Je ne pense rien. Mais voir cet homme te toucher sans que tu ne réagisses m’a complètement chamboulé. J’aurais voulu le tuer a ce moment la. Je… Je t’aime mais si tu veux agir comme ça ne m’emmène pas avec toi, parce que ca fait trop mal. Je veux être le seul à pouvoir te toucher, t’embrasser et le seul a qui tu confierais tout. J’ai confiance en toi mais je n’ai pas confiance en les autres… Et ca me tue de l’admettre mais j’ai été tellement jaloux à ce moment que j’aurais voulu remonter le temps pour te dire non lorsque tu m’as demandé de venir. »

Gojyô compris sa bêtise bien vite. Il regarda Eichi du coin de l'œil le jeune homme venait se logé dans ses bras. L'enfant tabou ayant écouté toute les paroles du plus âgé il finit par le comprendre. Il aurait fait pareil à sa place mais croire qu'il était un homme qui courait après tout ce qui bougeait tout de même!! Le tatoué essuya les larmes de son amant en essayant d'arrêté les siennes:

"-La prochaine fois envoie le boulé ce que tu veux...Ou demande moi simplement de ne plus agir ainsi...Au lieu de dire que je suis un coureur de jupon! je me doute que tu veux être le seul à me toucher...Mais tu vois bien ce que je suis capable de faire à un homme pour toi...Je suis un rustre c'est vrai je ne suis pas doux comme toi mais j'arrive à comprendre tu sais...Tu as confiance en moi mais dans tes paroles j'avais plus l'impression que tu n'avais aucunement confiance..."

L'enfant tabou avait arrêté de pleuré et parlait maintenant de manière assez franche à son amant.

"-La prochaine fois je le reposerai...Je vais perdre cette habitude de ne pas réagir...Mais..."

Le jeune homme au cheveux rouge sang avait vraiment du mal à digérait les propos de Eichi. Ces propos le laisser pensé que son amant croyait qu'il était un donjuan. Le plus jeune regarda Eichi qui s'excusa:

« Je suis désolé… »

Le jeune homme soupira, de façon bizarre comme souffrant. Finalement Gojyô ouvrit la bouche pour parler:

"-Même avec tes excuse...Le fait que tu es dit ça...Enfin le truck comme quoi je serais un coureur de jupon...Ça me fait mal...j'ai vraiment du mal à digéré ça tu vois..."

L'enfant tabou s'alluma une cigarette et le premier des joueurs passa la tête dans l'entre bâillement de la porte. Gojyô l'observa un instant et lui dit qu'il viendrais les cherché quand le problème serais résolut. Finalement le sanguin reporta son attention sur le noiraud qui était toujours dans ses bras et l'embrassa sur le front avant de parler à nouveau:

"-Tu vois la rare chose que je n'est pas tiré d'elle c'est ça je crois...Son esprit dragueur même si j'ai un homme...Elle draguer souvent les autres hommes ou femmes qui jouait avec elle...Ma mère était une vrai croqueuse d'homme...Je ne suis pas comme elle...Quand j'étais avec elle est qu'elle draguer je brûler les pieds des hommes autour d'elle...Je...je me sens vraiment mal sur ce que tu as dit..."

Le jeune homme baissa un instant la tête pour ne pas pleuré de nouveau. Il se concentra un instant et se mit à fredonner une chanson. Cette chanson l'avait toujours apaisé. Le plus jeunes essaya donc de se calmer seul. Cette chanson était celle que ça mère lui chanté avant qu'elle ne meurt.

« La prochaine fois envoie le boulé ce que tu veux...Ou demande moi simplement de ne plus agir ainsi...Au lieu de dire que je suis un coureur de jupon! Je me doute que tu veux être le seul à me toucher...Mais tu vois bien ce que je suis capable de faire à un homme pour toi...Je suis un rustre c'est vrai je ne suis pas doux comme toi mais j'arrive à comprendre tu sais...Tu as confiance en moi mais dans tes paroles j'avais plus l'impression que tu n'avais aucunement confiance... »

Les pleurs du plus jeune avaient cessé.

« La prochaine fois je le reposerai...Je vais perdre cette habitude de ne pas réagir...Mais... »

Le jeune homme eu un souffle bizarre et reprit la parole.

« Même avec tes excuse...Le fait que tu es dit ça...Enfin le truck comme quoi je serais un coureur de jupon...Ça me fait mal...j'ai vraiment du mal à digéré ça tu vois... »

Le tatoué alluma une cigarette et le noiraud grogna légèrement. Il n’avait jamais insinué ça. Jamais. Il ne l’avait même pas pensé. Le sanguin déposa un baiser sur le front du plus vieux avant de reprendre.

« Tu vois la rare chose que je ne suis pas tiré d'elle c'est ça je crois...Son esprit dragueur même si j'ai un homme...Elle draguer souvent les autres hommes ou femmes qui jouait avec elle...Ma mère était une vrai croqueuse d'homme...Je ne suis pas comme elle...Quand j'étais avec elle est qu'elle draguer je brûler les pieds des hommes autour d'elle...Je...je me sens vraiment mal sur ce que tu as dit... »

Il baissa la tête et commença alors à fredonner une chanson. Eichi l’avait déjà entendue de sa bouche.

« Je n’ai jamais dis que tu étais un coureur Gojyô. Ce n’est même pas à ça que je pensais. Je sais très bien que tu n’en es pas un mais… tu connais cet homme c’est indéniable. C’est surtout ca qui m’a blessé. Si tu le connais tu devais te douter qu’il allait agir comme ça et tu ne l’as pas évité… Et puis… » hésita Eichi en se mordillant les lèvres. Après tout, puisqu’ils en étaient la, autant continuer « Tu l’as embrassé, sur la joue certes mais tu l’as embrassé. Alors tu penses bien que je me fais des films. »

Il passa son index sous le menton du plus jeune et le força à le regarder.

« Avec l’imagination débordante dont j’ai hérité, tu te doutes bien que ca me travail toujours la dedans » dit-il en désignant son crâne. « Je t’aime… Mais j’ai eu peur… excuse moi… »

Il déposa chastement ses lèvres sur celles de son amant avant de se blottir à nouveau contre lui.

Gojyô avait écouté ce que lui avait dit Eichi de façon attentive. Il reprit alors la parole pour répondre à son amant.

« Je suis rassuré que tu ne pense pas de moi que je suis un coureur...Et oui je t'avoue je connais cet homme...Mais je t'avouerai aussi que c'est la première fois qu'il agit comme ça...Je ne m'attendais pas du tout à ce qu'il fasse cela...Puis n'est pas peur... »

Gojyô prit une longue inhalation sur sa cigarette qui arrache un grognement a Eichi. Non, décidément il n’aimait pas ça !

« Je vais te dire quelque chose...Je sais bien que tu as peur...J'ai peur aussi des fois...Mais je t'ai promis que je ne te laisserai pas...Crois un peut en moi et ton cerveau qu'il arrête de faire des films ainsi...Si cette saleté d'organe m'entend il comprendra... »

Le tabou eu un sourire moqueur et Eichi fit une moue boudeuse. Ce n’était pas de sa faute si son cerveau marchait à cent à l’heure.

« Puis franchement tu crois que je vais quitter un canon tel que toi pour un vieux de 32 ans? Désolé mais les vieux ce n’est pas mon truck...Je préfère les jeunes... Grand... Timide... Pas sur de lui... A oui et aussi jaloux qu'une nana... puis cette personne je crois que je vais la tenir par une chaine et un collier. Tu as un cou si long sa t’irais bien... »

Eichi sourit. Il avait raison mais certain de ses partenaires l’avait quitté parce qu’il préférait les hommes plus murs ou plus jeune, il n’avait jamais vraiment été prit pour lui. Le sanguin fit relever la tête du noiraud avant de l’embrasser. Eichi savoura pleinement ce baiser =, il savait maintenant que le bonheur n’était qu’Ephémère et qu’il devait en profiter tant qu’il en avait. Ils se s’éparèrent ensuite et Gojyô lui montra la photo d’une femme. D’une très belle femme. Elle portait de longs cheveux d’un rouge vif et ses yeux étaient d’une couleur identique. Il en déduit bien vite qu’elle était la mère de Gojyô tellement la ressemblance était frappante. Il prit une voix faible et lui dit que c’était elle. Eichi eu un petit sourire triste lorsqu’il lui dit que la chanson était d’elle, qu’elle lui avait chanté avant qu’elle ne meurt.
Eichi le prit dans ses bras et le serra fort contre lui.

« Je t’aime, elle t’aime. Tu n’es pas seul Gojyô. Si tu as besoin de te calmer tu n’as qu’à venir me voir ou simplement quitter le lieu ou la personne qui t’as mise en colère. Je suis sure que ta mère est fière de toi. »

Il se redressa et le regarda dans les yeux.

« Tu es quelqu’un de bien Gojyô Zetsu, et tu le restera à vie parce que malgré ton impulsivité et ton caractère de cochon, tu as un cœur d’artichaut. Et tu ne pourras jamais réellement faire de mal a quelqu’un sans raison valable. »

Il se recolla contre lui.

« J’aurais aimé connaitre ta mère, d’après ce que tu m’as raconté, elle avait l’air de quelqu’un de merveilleuse. »

Le plus jeune eu alors un rire nerveux. Pourquoi ? Eichi savait qu’il avait raison. Qu’il le veuille ou non ! Il finit par éclaté de rire sous le regard perplexe du noiraud. Il se calma rapidement et annonça d’une voix marquée par son amusement :

« Tu es bien le premier à me dire ça...Généralement j'ai droit à tout les mots possible et imaginable pour mon caractère et le reste...Puis je suis persuadé que je ne suis vraiment pas un homme bien... »

Eichi pensa qu’il n’avait vraiment connu personne qui l’avait apprécié pour lui. Eichi ne se souvint pas avoir pensé qu’il était enquiquinant ni même colérique. Peut être qu’il ne le connaissait pas depuis assez longtemps pour ça mais ce qu’il avait vu de lui lui suffisait pour s’en faire une bonne opinion.

« Dans mes souvenir elle l'était...Mais elle était aussi très effrayante quand elle était en colère...Je peux t'assurer que je ne me frotté jamais à elle et surtout pas les joueurs qui se faisait battre...Quand je pense que mon père à réussit à la tuer...C'est assez contradictoire...Je trouve. »

Eichi rigola. Il s’imaginait très bien comment elle avait pu être, après tout, il sortait avec son fils. La phrase suivante le fit frissonner.

« D'ailleurs si tu continue à avoir peur je vais vraiment te faire peur à ma façon...Et ça ne te plaira pas alors...Arrête! »
« Explique-toi… » murmura-t-il « De toute façon j’ai confiance en toi. Je sais que tu ne fera rien d’injustifié »

Il se redressa et embrassa son amant avidement. Il mit alors fin a leur baiser pour éclaircir les choses…

« Je ne comprends pas comment tu pourrais me faire peur… Je n’ai pas peur de toi mais de ce que les autres pourraient te faire faire. »

Eichi entendit la porte s’ouvrir. Il tourna la tête et aperçu des cheveux blonds. Il fronça les sourcils et senti le plus jeune se lever. Il ne le retint pas mais aurait peut être dû… Il se rassie comme il l’était quelques minutes avant et passa ses bars autour des épaule du noiraud avant d reprendre son discours.

« Donc non je ne dirais rien...Je ne veux plus faire peur et encore moins à toi...Je ne veux pas te faire fuir et je ne veux pas non plus montrer cette partie de moi qui je déteste et qui pourtant et la beaucoup plus souvent que l'autre côté que tu connais très bien...L'homme gentil...attentionné avec toi...moqueur et taquin...Même chiant dés fois... »

Eichi était consterné. Il en avait dit soit trop, soit pas assez. Et le noiraud était curieux de nature. Le plus jeune ferma les yeux et le noiraud se redressa. Il s’assit en tailleur face au jeune homme et prit un air sérieux qu’il n’avait encore jamais arboré devant le sanguin.

« Ecoute Gojyô, je t’aime pour ce que tu es. Toi tout entier. Mais comment veux tu que je le pense toujours quand tu me dis que je ne connais que la moitié de toi. Je ne sais pas ce que tu es autrement mais je n’aurais jamais peur de toi. Que tu le veuille ou non. Car quand bien même tu serais un monstre sanguinaire, quelque part tu seras toujours celui que je vois en ce moment, et le reste n’a pas d’importance. »

Eichi n’est pouvait plus, il savait bien qu’il ne connaissait pas tout de son tatoué mais il voulait tout connaitre de lui… Parce qu’il l’aimait…

Le sanguin se mordit la lèvre inférieure et ses yeux s’agrandirent. Eichi savait que s’il n’était pas rigide maintenant, il ne saurait plus jamais rien de son amant. Lorsque le plus jeune l’embrassa, Eichi comprit bien vite que c’était pour le faire oublier sa question. Il posa ses mains sur les épaules du sanguin et le poussa vers l’arrière fermement. Il était redevenu l’ainé du couple. Le géant finit par comprendre. Il ouvrit la bouche mais aucun son n’en sorti. Eichi ne le brusqua pas car il savait que ce serait dur. Il avait lui-même des choses à cacher. Son homme prit alors une grande inspiration et débuta son discours.

« Tu veux savoir alors tu va savoir...Tu as remarqué que je suis un élémentaire feu...J'ai appris à me servir de mon pouvoir à l'âge de 5 ans...Ma mère pour un anniversaire ma offert une faux...Je la fait apparaitre avec mes flammes elle ma appris ça comme tout d'ailleurs...Puis... »

Le jeune homme inspira et continua.

« Je suis gentil d'accord mais j'ai un mauvais fond qui ressort souvent...Je peux te plié quelqu'un rien qu'avec des mots...Mais j'ai aussi tuer...Pas que mon père j'ai tuer plus que tu peux croire...Mes flammes et ma faux on tuer des tas de personne...Souvent parce que j'ai pété un câble pour des choses pourtant si futile...J'ai peur qu'un jour je parte en burne de nouveau tu vois...Et franchement le jour ou je repars en burne tu crois franchement pouvoir m'arrêter? »

Son amant cessa son discours avant de recommencer.

« Avec toi c'est différent je suis calme mais j'ai quand même cette peur...Dans le dossier d'inscription je n'ai pas tout mis sur ma vie vois tu...Mais le jour ou je repars dans cette voix je te demande de m'arrêter même si ça risque d'être dur...Je sais que toi tu peux peut être me calmer même si les doutes reste je pense et je crois que toi tu peux...Tu vois je ne suis pas un mec si bien...Réfléchis un instant à tout ce que je viens de dire... »

Le géant alluma une cigarette et tira une taffe avant que le noiraud ne pose sa main sur celle du tatoué pour la prendre et l’écraser par terre. Eichi capta alors le regard de son amant qui avait alors fermé les yeux. Un regard de chien perdu. Eichi eu un sourire en coin avant de poser ses lèvres sur celles du plus jeune dans un baiser chaste et rassurant.

« Je ne vais pas te quitter parce que tu as tué Gojyô. Certes ca ne m’enchante pas des masses de savoir que tu as du sang sur les mains mais quand bien même. Je ne pense pas avoir un caractère qui me ferait fuir loin de toi pour ca. Si jamais tu « pars en burne » j’arrêterais le temps et t’emmènerais loin de façon à ce que tu te calme. Ton passé n’est pas tout rose et le mien non plus, j’ai aussi mentit mais c’était pour pouvoir être admis. Ecoute, pour moi tu n’es pas celui qui a tué. Pour moi tu es celui qui m’a ouvertement allumé à la bibliothèque et au café. Tu es celui qui a quitté Naho pour moi alors qu’elle aurait surement été plus apte à être avec toi. Et puis, arrête de dire que tu as un mauvais fond, c’est faux ! Je le sais. Tu es influencé par ton pouvoir et tes capacités, je le suis aussi. J’ai lu assez d’ouvrage la dessus pour savoir quel tempérament ont les élémentaires du feu. Je t’aime toi tout entier ! » dit-il sérieusement « Et puis merde hein, si tu veux que je parte dis le dessuite et je m’en vais. »ajouta-t-il avec un sourire moqueur.

Il se redressa et embrassa son amant plus fougueusement mais au bout que quelques secondes, le sanguin le repoussa également.

« Qu’est ce que j’ai encore fait ? » souffla le noiraud.

« Je ne vais pas te quitter parce que tu as tué Gojyô. Certes ca ne m’enchante pas des masses de savoir que tu as du sang sur les mains mais quand bien même. Je ne pense pas avoir un caractère qui me ferait fuir loin de toi pour ca. Si jamais tu « pars en burne » j’arrêterais le temps et t’emmènerais loin de façon à ce que tu te calme. Ton passé n’est pas tout rose et le mien non plus, j’ai aussi mentit mais c’était pour pouvoir être admis. Ecoute, pour moi tu n’es pas celui qui a tué. Pour moi tu es celui qui m’a ouvertement allumé à la bibliothèque et au café. Tu es celui qui a quitté Naho pour moi alors qu’elle aurait surement été plus apte à être avec toi. Et puis, arrête de dire que tu as un mauvais fond, c’est faux ! Je le sais. Tu es influencé par ton pouvoir et tes capacités, je le suis aussi. J’ai lu assez d’ouvrage la dessus pour savoir quel tempérament ont les élémentaires du feu. Je t’aime toi tout entier ! » dit-il sérieusement « Et puis merde hein, si tu veux que je parte dis le dessuite et je m’en vais. »ajouta-t-il avec un sourire moqueur.

Gojyô sourit à la moquerie de son amant. il se laissa embrasser un instant et repoussa gentillement son amant. Celui ci fut visiblement surpris. Le noiraud allait parler et l'enfant tabou attendit donc le parole du jeune homme avant de parler à son tour.

« Qu’est ce que j’ai encore fait ? » souffla le noiraud.

Face au souffle de son amant le sanguin sourit, pas d'un air moqueur mais plutôt attendrit par la moue de Eichi. Il lui sourit ouvertement avant de lui répondre d'une voix douce et surtout soulagé:

"-Tu n'as rien fait du tout...Je veux juste te dire merci...Et ce que tu as lu sur les élémentaire ne doit pas être totalement vrai tu sais...Il y en a qui sont si différent de moi...Enfin bref...Tu sais si je t'ai emmener ici ce n'est pas pour cela mais surtout...Pour qu'on passe une bonne soirée ensemble...Tu va voir on ne jouera pas mais on va aller danser..."

Le jeune tabou embrassa le noiraud de façon fougueuse et le pris par le bras en se levant. Il amena Eichi dans la deuxième salle. Une boites de nuit des plus banale. Il alla s'asseoir au bar et pris un grand verre de Vodka pur. Deux filles vinrent le voir il rigola un instant avec elle avant que l'une d'elle essaye de le toucher. Gojyô stoppa la main de la jeune femme et lui montra Eichi des yeux. La belle demoiselle lui sourit et le laissa donc tranquille. L'enfant né tabou pris son verre de Vodka et en bu quelques gorgé goulument. Il observa Eichi un instant et lui dit simplement:

"-Si tu veux boire quelque chose prend et si tu veux danser vas y je te rejoindrais quand j'aurais finit mon verre..."

Gojyô ouvrit sa veste laissant apparaitre ses muscle, donc son torse. Il la leva et se retrouva torse nu. Le barman, donc le propriétaire de la boites ne dit rien et lui sourit. Il connaissait Gojyô et savait très bien comme il était. Il le laissa faire et n'en dit rien de plus que ce qui n'était déjà fait depuis qu'il était entrée dans la salle.

Le sanguin sourit attendrit avant de lui sourire et de lui répondre.

« Tu n'as rien fait du tout...Je veux juste te dire merci...Et ce que tu as lu sur les élémentaire ne doit pas être totalement vrai tu sais...Il y en a qui sont si différent de moi...Enfin bref...Tu sais si je t'ai emmené ici ce n'est pas pour cela mais surtout...Pour qu'on passe une bonne soirée ensemble...Tu va voir on ne jouera pas mais on va aller danser... »

Le tatoué embrassa son amant fougueusement avant de le relever. Il guida Eichi jusqu’à la seconde salle qui avait tout d’une boîte de nuit banale. Les spots, les fumigènes et la musique à fond. Le tatoué s’installa au bar et Eichi l’imita. Il commanda une Vodka et Eichi grimaça. Comment pouvait-il boire ça. Deux s’approchèrent du tabou et le noiraud se raidit. Il discuta alors avec elles jusqu'à ce que l’une des deux amorces un mouvement vers le plus jeune. Eichi serra les poings mais Gojyô la repoussa en désignant son amant. Eichi se détendit et sourit. Les deux jeunes femmes s’éloignèrent et le sanguin avala quelques gorgés de vodka pure. Il observa le plus vieux un instant avant de lui signifier que s’il voulait danser ou boire, il n’avait qu’a le faire. Eichi commanda alors un Gin Tonic et bu son verre a petite gorgé. Le sanguin ouvrit sa veste et l’ôta sous le regard amusé du barman. Eichi se pencha vers son oreille.

« Exhibitionniste. » murmura-t-il assez fort pour que le tatoué l’entende.

Il lui lança un sourire en coin et se leva pour aller sur la piste et commencer à danser. Il fut rapidement rejoins par un homme. Décidément, même s’il n’avait pas été gay il les aurait attirés. Eichi lança un regard provocateur au sanguin appréhendant tout de même sa réaction.

Eichi vit que son tatoué discutait avec le barman. Il haussa les épaules et continua à danser. Il avait bien vu le regard de quelques femmes sur lui mais il n’en tint pas rigueur. Par contre, il avait bien vu le manège de l’un des hommes qui se tenait non loin de lui. Gojyô lui jeta un regard et Eichi lui fit un petit clin d’œil discret. La discussion entre les deux hommes dura un moment, Eichi n’arrivait pas à lire sur les lèvres du sanguin ni même sur celle du tenancier. Le tabou bougea alors, il remit sa veste et sa capuche avant de disparaitre. L’avait-il laissé seul ? Eichi se mordit la lèvre, il n’aimait plus vraiment ça. Mais il continua à danser, s’il avait fait attention au lui il devait avoir repérer l’homme qui se rapprochait de plus en plus. Eichi continua a danser durant quelques minutes et lorsqu’il reporta son regard sur le bar, Gojyô était revenu à sa place. Eichi soupira de soulagement et le sanguin reporta son regard sur lui. Eichi lui sourit d’un air aguicheur et son amant vint le rejoindre après avoir ôté sa veste. L’homme qui tournait autour du noiraud depuis tout à l’heure pesta lorsqu’il vit le sanguin placer ses mains sur les hanches du jeune homme et ils dansèrent ensemble.

« Au faites je suis pas exhibitionniste j'ai juste trop chaud...Enfin voilà...C'est pas la chaleur qui me dérange...Bref... »

Le tatoué sourit et Eichi rit. Une main vint se poser sur l’épaule du sanguin et Eichi fronça les sourcils. Le regard de son homme changea du tout au tout. Il lui demanda qui c’était et Eichi répondit calmement que c’était l’homme qui voulait danser avec lui. Le plus jeunes des deux hommes sourit un instant à son amant et la il sentit une main sur son épaule. Il se tourna un peu mais Eichi posa une main sur sa joue pour lui faire tourner la tête et glissa la main sur sa nuque pour l’amener à lui et sceller leurs lèvres dans un baiser passionné. L’homme jura plusieurs et quitta la boîte de nuit laissant les deux amants ensemble.

« Tu vois, y’a pas besoin de ses poings pour avoir la paix. » murmura le noiraud le souffle court a l'oreille de son homme.

« Tu vois, y’a pas besoin de ses poings pour avoir la paix. » murmura le noiraud le souffle court a l'oreille de son homme.

Le jeune homme sourit de façon satisfaite. Puis il jeta un coup d'œil au barman qui lui fit signe de regarder vers le fond de la salle. Non seulement qu'il jouer au jeux de hasard ici, il aidé le vieux barman pour la sécurité au cas ou. Gojyô jeta un coup d'œil dans la salle et rassura le barman et lui fit signe d'allait dans la salle des jeux pour se débarrasser du travail de Gojyô. Le vieux barman s'éloigna et disparut dans la salle. L'enfant tabou continua de danser avec son petit ami. Gojyô embrassa Eichi de façon langoureuse en même temps qu'il danser quand il entendit du bruit dans la Salle à côté. Malgré le bruit il avait toujours eut de bonne oreille et une intuition folle pour les embrouilles. Voyant que le vieux barman n'était pas revenu , il déposa un baiser chaste sur les lèvres de Eichi. Il partit en courant, pris sa veste et l'enfila avant de mettre la capuche et de finalement aller dans la salle de jeux. Quand il fut dans cette salle le jeune homme fut assez surpris de se faire envoyer au sol par un homme plus petit que lui mais tout de même musclé. Gojyô observa un instant dans sa surpris le barman qui essayer de calmer la folie de la salle. Gojyô resta par terre contre le mur un instant avant de sourire de façon différente. Il se leva et les regarda d'un regard malsain et noir. Le jeune homme en chopa un par le col et l'envoya contre le mur. Il se fit frapper par un autre et la se fut la totale. Gojyô s'énerva pour de bon et dit quelque mots et sa faux apparut dans ses mains. Il leva la tête et voulu égorgé l'imbécile qui avait osé le toucher. A la place de cela il le laissa dans son coin et planta la faux à double lame dans le mur. Le bar man sourit à Gojyô comme pour le remercié et un des hommes avait le cou entre les deux lames. Pas couper mais bloquer si il bouger il pouvait dire adieu à sa tête. L'enfant tabou tint sa capuche et regarda la porte qui donner sur la boite. Elle était entre bailler. Le tabou se mordit la lèvres inférieur et jura intérieurement. Le tatoué se douter bien que c'était son amant.Le plus jeunes fit disparaitre l'objet meurtrier et regarda le barman. Gojyô fit sortir tout le monde et les interdits de revenir sous ordres du gérant. Le gérant en question tapa sur l'épaule de Gojyô et lui sourit de façon chaleureuse et lui tendit de l'argent. L'enfant tabou refusa mais le barman lui glissa dans la poche. Le tatoué soupira et sourit à son vieille ami. Le calme était de retour et on pouvait les entendre parler dans la pièce:

"-Tu as toujours était d'une efficacité formidable...Et s'il te plait mon grand ne sort plus ton arme la prochaine fois...Tu me connais la dernière fois que tu as fait un blesser j'ai du réparer tes âneries..."

Gojyô se frotta le derrière du crâne et soupira avant de lui dire:

"-Tu sais bien que je suis la au cas ou...Et j'avoue tu as beaucoup payer pour mes conneries..."

Ils se mirent à rigoler et Gojyô alla prendre Eichi qui avait l'air bizarre par le bras. Il l'amena au patron et le pris par la taille.

"-Tu m'autorise à rester avec lui ici comme convenu je crois que on doit...Encore s'expliquer..."

Le barman ricana et les laissa, mais avant il leur ramena une boisson chacun en disant que c'était gratuit. Une vodka et un gin tonic. L'enfant tabou donna son verre de gin au noiraud et le regarda d'un air intrigué avant de lui demander:

"-Bon déjà je vais te demander quesqu'il y a et ensuite pourquoi ta cette air bizarre sur le visage??"

Le plus jeune lui sourit et jeta un œil en arrière. Eichi essaya de regarder ce qui ce passait, en vain. Ils continuèrent à danser un moment avant que le sanguin n’embrasse son amant de façon langoureuse. Soudain, le jeune homme se redressa et déposa un chaste baiser sur les lèvres d’Eichi avant de récupérer sa veste et de partir précipitamment dans l’arrière salle laissant Eichi seul comme un con au milieu de la piste. Il soupira et se mordit la lèvre. Devait-il aller voir ? Malgré la musique, il entendait des bruits et des coups. Il avait peur pour lui-même s’il savait qu’il ne craignait rien. Il s’avança alors et entrouvrit la porte pour voir ce qui ce passait. Gojyô était au sol. Eichi serra les poings et soupira de soulagement lorsqu’il le vit se relever. Mais le sourire qu’il eu a ce moment la le fit frissonner. Quelque que qu’il ne devrait pas voir allait se passer. Le plus jeune eu un regard noir et envoya valdinguer son adversaire contre un mur. Mais le complice de l’homme arriva par derrière et frappa Gojyô. Eichi voulu intervenir mais son homme fut plus rapide. Il fit apparaitre sa faux et le cœur d’Eichi rata un battement lorsqu’il embrocha le deuxième homme. Il n’était pas mort mais si sa tête bougeait, il la perdait. Le plus jeune rajusta sa capuche et jeta un œil dans la direction du noiraud qui ne cilla pas. Il en voulait pas qu’il croit qu’il lui en voulait ou quoi que ce soit. Il fit disparaitre son arme et mis les perturbateur dehors. Le gérant donna une tape amicale au sanguin et lui tendit de l’argent. Eichi eu un petit sourire en coin. Il en faisait rien de mal après tout, faire le videur pour se faire un peu d’argent était légal.

« Tu as toujours était d'une efficacité formidable...Et s'il te plait mon grand ne sort plus ton arme la prochaine fois...Tu me connais la dernière fois que tu as fait un blesser j'ai du réparer tes âneries... » dit le gérant en souriant.

Il se frotta l’arrière du crâne d’un geste trop mignon et repris la parole. Ce n’était apparemment pas la première fois qu’il faisait ce genre de chose.

« Tu sais bien que je suis la au cas où...Et j'avoue tu as beaucoup payé pour mes conneries... »

Ils rigolèrent et Eichi sourit tristement. Il ne l’avais jamais vu rigoler avant ça. Il sursauta lorsque son homme l’attrapa par le bras et l’attira dans la petite pièce. Il le posta devant le patron et le tint par la taille.

« Tu m'autorise à rester avec lui ici comme convenu je crois que on doit...Encore s'expliquer... »

Le vieil homme eu un petit rire et les laissa. Eichi se colla un peu plus a son homme et le barman revint avec deux vers en leurs disant que c’était gratuit. Eichi le remercia et le tenancier sortit. Gojyô lui tendit son verre et le regarda d’un air intrigué.

« Bon déjà je vais te demander qu’es-ce qu'il y a et ensuite pourquoi ta cette air bizarre sur le visage ? »

Eichi sourit. Il embrassa son homme chastement, le fit s’assoir sur l’une des chaises et s’installa sur ses genou avant de caller sa tête dans le creux du cou du sanguin.

« Je me disais juste que j’aimais te voir rire comme ça. Et que je n’y étais pas encore parvenu… » ajouta-t-il avec une once de tristesse dans la voix. « Je t’aime. Arrête de vouloir me préserver de tout ou de t’inquiéter à chaque fois que je vois quelque chose que tu ne voulais pas que je vois d’accord… »

Il avala une gorgée de son verre et le posa avant de fermer les yeux.

« Je suis fatigué… »

Le tatoué ne dit rien mais passa sa main sur la joue de son amant d’un geste délicat alors qu’il arborait un léger sourire aux lèvres. Puis, il reprit la parole d’une voix calme.

« Un jour proche toi aussi t'arrivera à me faire rire comme ça...et d'accord tu verras tout...Mais je te préviens, ne viens pas te plaindre après... »

Eichi sourit contre l’épaule du plus jeune. Il avait bien compris qu’il se moquait de lui, mais il s’en fichait. Maintenant il pourrait tout savoir de lui et c’était la seule chose qui comptait. Il savait aussi que lui ne jouait pas franc jeu avec lui et lui cachait certaines choses mais lui, il le détesterait pour ca. Eichi releva légèrement la tête et son homme en profita pour l’embrasser. Il passa une main sous sa chemise et l’autre sou son fessier. Eichi sentit la langue de son compagnon s’introduire délicatement dans sa bouche et commencer un ballet sexy avec celle du noiraud. Il rompit ensuite le baiser arrachant un grognement de mécontentement à son homme. Il reprit alors son action avant de s’arrêter une nouvelle fois. Le sourire qui prit possession de son visage ne présageait rien de bon et Eichi fronça les sourcils.

« Tu es vraiment trop mignon... »

Ca, Eichi le sentait mal… Très mal…

« Tu serais vraiment sexy si tu m'allumais comme un infirmier...Ou encore un serveur...Ou plein d'autre façon »

Le volume de la voix du plus jeune s’atténuait au fils de sa phrase. Eichi rougit. Il était en colère mais il ne devait pas le montrer, il ne fallait pas ! Il prit alors un air gêné.

« Tu peux toujours courir mon ange. Je ne me cosplayerai jamais ! Jamais pour ça… »

Eichi avait baissé la tête. Il ne voulait pas de ça.

« Tu peux toujours courir mon ange. Je ne me cosplayerai jamais ! Jamais pour ça… »

Gojyô observa attentivement son homme et vit que cela ne lui avait pas trop plus. Il regarda Eichi rougir et la il retint un rire moqueur. Le jeune homme l'embrassa chastement avant de lui dire d'une voix calme:

"-Je te taquine jamais je ne te demanderai une chose pareil sauf pour t'embêter...Puis sans rien tes encore mieux..."

Gojyô sourit de nouveau Eichi était vraiment craquant quand il rougissait. En observant un peut plus l'enfant tabou compris bien vite que le plus vieux avait quelque chose. Gojyô mit sa tête face à celle de son amant et son visage fut ensuite à quelque centimètre. Le tabou comptait bien savoir.

"-Ou tu arrête de faire celui qui est calme et tu me dit que tes en colère et tu te défoule ou j'arrête de te câliner....Oh et aussi au passage....Moi j'ai tout dit sur moi mais toi dit moi tout...Si tu me cache encore quelque chose je serais vexé tu sais...."

Sa dernière portion de phrase était moqueuse mais sincère. Il voulait savoir lui aussi. Le tabou savait qu'il sortait avec un homme qui avait un ^passé plus ou moins douloureux mais en savoir plus sur la personne même c'était mieux. Gojyô pris dans sa veste quelque chose...Il en sortit...UNE CIGARETTE! Le sanguin l'alluma et souffla la fumé sur le côté avant de regarder son amant de nouveau. Le jeune homme sourit légèrement et pris la paroles de nouveau avant de boire une gorger de Vodka:

"-Si tu me dit tout tu sais je t'accepterai comme je suis puis...Je suis pas un exemple en la matière..."

Gojyô à la fin de sa phrase sourit et pensa à une phrase qu'un ami proche lui avait dit une fois. Une phrase tellement vrai. Cette phrase disait: "tuer n'est pas forcement un mal, certains méritent de mourir...Mais celui qui a tué doit se préparer à être tuer...". Ce rappelant ces paroles Gojyô se dit que c'était comme un principe de cause à effet. Il sourit.

"-Tu sais mon joli que ce monde soit mauvais ou pas, ceux qui restent ont la plus forte volonté de vivre."

Le jeune homme se rendit compte qu'il venait de penser trop fort. Il regarda son partenaire et lui fit un sourire gêner avant de lui dire de façon simple:

"-Désolé cette phrase je l'ai penser un peut fort..."

« Je te taquine jamais je ne te demanderai une chose pareil sauf pour t'embêter...Puis sans rien tes encore mieux... »

Eichi soupira de soulagement. Il pensait être sortit d’affaire lorsque le plus jeune lui releva le visage et le plaça a quelque centimètre du sien.

« Ou tu arrête de faire celui qui est calme et tu me dis que tes en colère et tu te défoule ou j'arrête de te câliner....Oh et aussi au passage....Moi j'ai tout dit sur moi mais toi dit moi tout...Si tu me cache encore quelque chose je serais vexé tu sais... »

Et merde. Il pensait pourtant avoir été très convaincant. Il avait sentit de la moquerie dans la dernière phrase de son amant mais il savait qu’il était très sérieux. Le sanguin sortit une cigarette et l’alluma. Il réussit à prendre une bouffé. Eichi leva la main pour la lui enlever mais en repensant qu’il voulait connaitre ca, il abaissa la main. Il en aurait surement besoin pour supporter ça. Parce que le noiraud n’avait pas fait que lui cacher des choses… Il avait aussi mentit… le tabou prit une gorgé de sa boisson.

« Si tu me dis tout tu sais je t'accepterai comme je suis puis...Je ne suis pas un exemple en la matière... »

Il sourit. Dieu qu’Eichi pouvais aimer son sourire. Il passa une main sur la joue de son homme et eu un petit sourire triste, il savait que ca ne passerai pas. Il semblait maintenant réfléchir, il laissa alors échapper une petite phrase.

« Tu sais mon joli que ce monde soit mauvais ou pas, ceux qui restent ont la plus forte volonté de vivre. »

Il lui sourit, gêné. Eichi se mordit la lèvre.

« Désolé cette phrase je l'ai pensé un peut fort... »

Il inspira. Il devait lui dire. Sinon ca ne marcherais jamais. Il se leva et prit son verre avant de faire face à la fenêtre. Il ne voulait pas voir son regard. Il ne voulait pas voir du dégout ou de la pitié au fond de celui-ci. Il inspira et commença son récit.

« Après la mort de Nao, j’ai déprimé pendant un long moment. Shin et Papa Ren n’arrivait pas à me faire reprendre contenance. C’est un peu à ce moment la que j’ai découvert mon pouvoir. Je retournai sans cesse dans le passé pour le voir. Je passais tellement de moment seulement à le regarder. Au bout d’un mois environ, je suis tombé mort de fatigue. Je me suis évanoui dans les escaliers et Shin m’a rattraper de justesse avant que je ne me fracasse le crâne contre une marche. Pendant mon séjour à l’hôpital, j’ai prit conscience que Nao ne reviendrai pas et que je devais arrêter de littéralement vivre dans le passé. J’ai annoncé à Papa Ren que je voulais partir. Il m’a seulement sourit et m’a souhaiter bonne chance avant de m’ordonne de quand même les tenir au courant de ma vie. J’ai commencé à louer un petit appartement en ville et j’allais en cours. Mais mon compte en banque s’épuisait et je ne trouvais pas de travail. Je disais a mes pères que ça allait et que je m’en sortais, que je n’avais pas besoin d’eux. Je ne voulais pas les décevoir. Un soir, j’étais dans une boîte gay en ville. J’avais bu et un mec est venu me parler. Je ne l’avais jamais vu mais son nom me disait quelque chose. Assez grand, des cheveux coupés en brosse roux et des yeux bleus vitreux. Il ne me rassurait pas mais il ne me faisait pas peur pour autant. »

Il porta son verre à ses lèvres et le finit en un instant. Il arrivait à la partir difficile.

« Il… Il m’a proposé de bosser pour lui. Ca rapportait bien et puis c’était pas bien compliqué. Il m’a aussi dit que j’avais tout à fait le profil de l’emploi. Je ne lui demandai rien et acceptais. J’avais besoin d’argent… Il m’a donné rendez-vous à une adresse du quartier chaud de la ville le lendemain soir. J’y suis allé»

Il leva la main et la posa sur le rebord de la fenêtre avant de serrer le poing sur la monture en bois.

« Il m’a accueillit chaleureusement et m’a expliquer ce que je devais faire. »

Eichi posa son autre main devant lui et s’appuya dessus.

« Je… Je devais simplement coucher avec les hommes qui m’appelaient et leurs ramener l’argent qu’ils me donnaient. Je n’ai pas saisit tout de suite mais lorsque j’ai compris qu’il voulait que je me prostitue, j’ai refusé. Il est devenu tout de suite moins chaleureux. Son… Le gorille qui m’avait fait entrer m’a passé gentiment à tabac et ils m’ont enfermé durant trois jours pour que je reprenne du poil de la bête. Ils m’ont mis dehors en me donnant l’adresse de mon premier client le cinquième jour. »

Les larmes commençaient a perlés aux coins de ses yeux.

« J’ai pensé à ne pas y allez mais ils m’ont dit qu’ils connaissaient tout de ma vie et que si je ne voulais pas que Mai en pâtisse je devais faire bien gentiment ce qu’ils me disaient. Alors j’ai commencé. Un politicien, un pompier, un cadre. Je le faisais parce qu’il me payait vraiment bien. Je gagnais les ¾ de ce que les clients payaient. »

Les larmes coulaient maintenant le long de ses joues. Il voulait se taire mais, il devait lui expliquer. Il savait qu’il allait le perdre ainsi et ca lui faisait plus de mal que tout ce qu’il avait vécu jusque la.

« J’ai voulu quitter au bout de deux mois. J’en pouvais plus. Je me suis encore fait tabasser. Mais Shinji est passé par là à ce moment la et les a exterminés. Il est flic. Il a réussit à démanteler ce réseaux et je me suis fait passer le plus grand de tous les savons par papa Ren. J’étais en tellement mauvais état que j’ai passés un mois à l’hôpital. J’avais plusieurs côtes cassées et une facture du bras gauche. Lorsque je suis sorti, j’ai appris que Shin avait arrêté les coupables et qu’ils étaient condamnés à perpète sans possibilité de sortie. J’étais soulagé mais Ren était en colère contre moi. Il m’a donc collé ici, sans possibilité de sortie avant d’avoir mon diplôme. »

Maintenant qu’il avait tout avoué, Eichi avait envie de vomir. Il se dégoutait lui-même. Il avait souvent prit des douches durant lesquelles il s’était frotté tellement fort que sa peau s’était mise a à saigner. Maintenant qu’il allait se faire plaquer, il n’avait plus envie de vivre.

Gojyô écouta tout le récit de son amant avec attention. Pendant le long récit l'enfant tabou entendait les larmes de son hommes. Il ne bougea pas il voulait un peut le mettre face à la réalité pas par colère, pas par mépris face à tout cela mais par maturité. Déjà le jeune hommes devait vidé son sac puis il devait comprendre des choses. Gojyô ne dit rien il écouta calmement en buvant sa vodka. Il savait bien que Eichi devait avoir peur de se faire quitté mais il ne dit rien pour autant. Finalement Eichi finit son récit par ces quelques phrases:

« J’ai voulu quitter au bout de deux mois. J’en pouvais plus. Je me suis encore fait tabasser. Mais Shinji est passé par là à ce moment la et les a exterminés. Il est flic. Il a réussit à démanteler ce réseaux et je me suis fait passer le plus grand de tous les savons par papa Ren. J’étais en tellement mauvais état que j’ai passés un mois à l’hôpital. J’avais plusieurs côtes cassées et une facture du bras gauche. Lorsque je suis sorti, j’ai appris que Shin avait arrêté les coupables et qu’ils étaient condamnés à perpète sans possibilité de sortie. J’étais soulagé mais Ren était en colère contre moi. Il m’a donc collé ici, sans possibilité de sortie avant d’avoir mon diplôme. »

Gojyô soupira finalement. Il finit son verre cul sec et finit par se lever. Le sanguin se dirigea vers le jeune homme et se posta à côté de lui. Gojyô l'observa un instant et le noiraud n'avait pas l'air de vouloir le regarder. L'enfant tabou soupira de nouveau et regarda par la fenêtre avant de parler de façon calme et son visage pris une expression des plus mature:

"-Arrête de pleurer...Franchement tu veux que je te dise...Tu as fait des bêtise comme tout le monde...Dans cette établissement nous sommes beaucoup à avoir des passé douloureux et dur à effacer. Regarde moi j'ai fait tellement d'erreur et de connerie que se vieux barman qui connaissait ma mère à payer plusieurs fois pour me sauvé la mise. Tu as fait ça...d'accord mais regarde moi...N'est pas honte et regarde moi. Je ne veux pas parler avec un mur je veux voir ton si beau visage."

Gojyô attendit un instant et le jeune homme finit par le regarder. Il passa une main dans ses cheveux et il recommença à parler:

"-Bon...Tu crois que je peux t'en vouloir moi? J'ai tuer tellement de monde...J'ai fait des erreurs que tu n'imaginerai même pas...J'ai assassiné moi même un homme avec qui je sortais depuis des lustres...Et tu n'imagine même pas le millième des horreurs que j'ai put faire avec ce maudit pouvoir et cette maudite faux...C'est du passé et je ne me base pas sur une tel chose surtout que je ne peux pas être un exemple...Un jour un ami proche ma dit "tuer n'est pas forcement un mal, certains méritent de mourir...Mais ce qui tue doivent s'attendre à être tuer un jour..." En gros c'est ça qu'il ma dit."

Le jeune homme tira un bouffer sur sa cigarette et ferma les yeux un instant. Il souffla la fumé et passa une main sur la joue de son amant:

"-Tu tes obstiné à poursuivre un passé révolu depuis longtemps...Tu as fait des erreurs comme tout le monde...Ecoute moi...Je ne suis pas un tirant...Je suis assez grand pour comprendre certaines choses Je ne ferais rien...Puis malgré ton passé je t'aime...Maintenant arrête de pleurer...

Le plus jeune des deux jeunes hommes pris son amants dans ses bras et le serra contre lui. Pendant un moment il restèrent ainsi. Finalement Gojyô lui releva la tête et l'embrassa. Quand il le regarda de nouveau il lui sourit de façon tendre. Il lui dit ensuite:

"-Calme toi et surtout arrête d'avoir peur que je parte on se débarrasse pas de moi aussi facilement je suis pire qu'un cafard...Pour te débarrasser d'un boulet comme moi bonne chance!"