On commence la torture... [PV Gojyô] ~Terminé~

Après avoir prit cette douche rapide, je me dirigeais vers le dojo. Les environs étaient désert et l’endroit à l’ écart du pensionnat. Il était entouré de verdure et Eichi repéra tout de suite un petit coin à l’écart ou il ferait bon de s’installer pour se reposer. Quand il entra, Son regard se porta tout de suite sur le jeune homme au centre de la pièce. Il s’entrainait déjà et faisait sortir des flammes. Eichi sourit, il était vraiment beau quand il se concentrait et lorsqu’il était sérieux. Le sanguin stoppa ses mouvements et porta son regard sur son amant. Eichi lui sourit et s’avança vers lui.

« Je te préviens, je ne commencerais rien si je n’ai pas mon bonjour. » affirma-t-il avec un sourire moqueur en croisant ses bras sur son torse.

Gojyô vint vers lui et l’embrassa. C’était mieux ainsi, non mais il n’avait pas idée de quitter la chambre sans lui dire bonjour. Eichi sourit discrètement à sa bêtise. Sourire qu’il perdit immédiatement lorsque son amant lui demanda d’effectuer 10 pompes et 20 abdos. Il allait le tuer. 20 abdos !!! Et il ne savait pas faire de pompes. Il se claqua la main contre le front. Il n’avait pas réellement demandé au sanguin de l’entrainer pour perdre du poids (quoi que…) mais surtout pour partager sa passion et être plus proche de lui. Eichi avait fait les 10 avec grande difficultés. Il avait souvent, pour ne pas dire toujours, séché les cours de gym au collège. Il ne savait même pas comment positionner ses pieds. Il finit par faire quelque chose d’approximatif et de se rapprocher du sol une dizaine de fois. Il perdit rapidement son regard sur son homme qui tapait dans un sac de sable. Vraiment, l’air sérieux qu’il arborait en faisant du sport était magnifique. Puis, voyant que le tabou cessait de taper dans le puching ball, il se positionna pour faire des abdos. Ca il savait comment faire… Mais il détestait ca. Impossible de les faire jusqu’au bout. C’est en grande partie pour ça que ce qui aurait du être des abdos sont aujourd’hui plus ressemblant à de la marmelade. Eichi en fit deux et jeta un œil sur le tatoué… Qui faisait exactement la même chose que lui tout à l’heure. Eichi soupira. Le sanguin en avait fait deux fois plus que lui en moins de temps. Il se remit à essayer tant bien que mal de faire ces foutus abdos. Eichi ne fit pas attention a son ami durant un moment ne l’ayant pas vu bouger. Il en était a 15 abdos lorsque le tatoué se dirigea vers le local et prit des altères avant de se revenir a la place qu’il avait quitté. Il finit par adresser la parole à Eichi qui en avait fait un de plus. Ce dernier était allongé sur le sol. Il glissa sa tête vers l’arrière lorsqu’il entendit la voix du plus jeune :

« Ca m'étonne d'être si gentil dans les choses que je te fais faire. D'habitude je fais comme ma fait ma mère j'amène la personne à l'épuisement...Mais bizarrement toi je n’ai pas envie de t'épuiser... »
« Tu rigoles ? » demanda Eichi perplexe « j’ai l’impression que je vais mourir !!! Je n’ai pas fait de sport depuis quatre ans. »

Eichi se dépêcha de finir et rejoins son homme.

« Bon, et maintenant quel torture vas-tu m’infliger ? » demanda-t-il ironiquement.

Gojyô en même temps qu'il faisait son entrainement quotidien observa le jeune homme. Il avait vraiment beaucoup de mal à faire ses abdominaux et cela tira un sourire à l'enfant tabou. Il souriait pas pour se foutre de lui mais de voir comme il faisait des efforts pour faire exactement se que lui avait dit son amant. Puis soudain le tatoué sortit de ses rêverie quand Eichi lui parla:

« Tu rigoles ? » demanda Eichi perplexe « j’ai l’impression que je vais mourir !!! Je n’ai pas fait de sport depuis quatre ans. »

Gojyô eut un léger sourire. Eichi protesté à moitié alors que c'est lui qui l'avait voulu hier soir. Puis le noiraud s'approcha de son compagnon pour dire:

« Bon, et maintenant quel torture vas-tu m’infliger ? » demanda-t-il ironiquement.

L'enfant tabou sourit. Le jeune homme parler de façon ironique mais il était des plus mignon. Alors le tatoué répondit avec un sourire:

"-Ohhh je savais pas que tu étais maso..." Ironisa-t-il "-Maintenant tu va tapé contre ce sac comme j'ai fait avec mes jambes...Tu travaillera tes abdo et le reste sauf les bras...Et d'ailleurs je t'apprendrais à faire des pompes un jour."

Le plus jeune des deux jeunes hommes posa ses altère et embrassa Eichi pour l'encourager un peut. Il lui pris la main et l'emmena vers le sac de sable. Quand ils furent face au sac en question le tabou se plaça derrière son ainé et le pris par la taille. Pour que le jeune homme fasse vraiment de son mieux Gojyô lui dit à l'oreille:

"-Si tu arrive à faire les quelques série que je te demanderais en tout une série de dix coup de pieds vers le haut, dix vers le bas et dix facial...Je ferais se que tu veux..."

L'enfant tabou l'embrassa sur la joue et repartit à ses altère. Il observa son amant faire de son mieux. Pendant que le tatoué finit ses série d'altère et qu'il alla les ranger Eichi continuer tant bien que mal. Gojyô ressortit et pendant se temps il fit plusieurs tour de salle. Quand il fut bien épuisé, il sortit les barres de traction et la le supplice commença. Le plus jeune s'accrocha à la bar et fit des tractions. Au bout de la vingtième il commençait à souffrir et avoir du mal à continuer. Pourtant il n'arrêterait pas tant qu'il ne pourrais plus en faire pour de bon.

Le tatoué se moqua du jeune homme en le disant maso, non… Pas maso, ou du moins pas encore. Mais il savait que s’il restait sans rien faire, il n’arrêterait pas d’embêter son homme. Puis, il lui montra le sac de sable en lui disant de taper dedans avec les jambes.
Le sanguin posa les haltères, auxquels Eichi n’osait même pas penser le poids, et vint l’embrasser, un baiser trop rapide au gout du noiraud. Le sanguin lui prit la main et le mena jusqu'à ce sac de sable qu’il regarda d’un œil noir. Face au sac, Gojyô montra à Eichi comment faire les mouvements. Conclusion : Il allait mourir. Il lança un regard suppliant au plus jeune qui lui murmura une phrase très convaincante :

« Si tu arrive à faire les quelques série que je te demanderais, en tout une série de dix coup de pieds vers le haut, dix vers le bas et dix facial...Je ferais se que tu veux... »
« Ce que je veux hein… Ca marche. » fit-il avec un petit sourire en coin.

Finalement trente coups de pieds, ce n’était pas la lune… Le cadet déposa un baiser sur la joue du jeune homme. Dix vers le haut…
Eichi commença doucement. Il n’était pas réellement concentré alors il s’arrêta. Il se disait de penser a quelqu’un qui l’insupportait serait une bonne chose. Il se mit en tête que le sac de sable représentait l’image de Nao… Une image dont il devait à tout prix se débarrasser pour avancer. Il recommença. Un vers le haut puis il ramena son pied vers le bas et ainsi de suite… dix fois. A la fin de cette série, il s’arrêta quelques secondes pour reprendre son souffle. Il en profita pour jeter un œil à son amant qui avait cessé de courir dans la salle. Il faisait des tractions. Et, pour le coup, il avait l’air de souffrir. Eichi se mordit la lèvre et s’empêcha d’aller l’arrêter, après tout, il devait savoir ce qu’il faisait non… Il secoua la tête pour arrêter d’y penser. Il reporta son attention sur le sac de sable et recommença a cogner. Il ne savait pas trop s’il faisait les bons mouvements mais il tapait vers le bas, la jambe perpendiculaire au sac puis il donnait des coups de façon à ce que la plante de son pied soit collée au sac. Il préférait largement ca que les abdos. Une fois qu’il eu finit, il se posta hors du champ de vision de son cadet. Pas qu’il voulait le fuir mais il ne voulait pas le déranger dans son exercice.

« Ce que je veux hein… Ca marche. » fit-il avec un petit sourire en coin.

Le jeune homme avait sourit à cette réponse il savait que cela aller motiver son amant. Pendant qu'il faisait c'est traction avec de plus en plus de mal il observait son compagnon faire les exercice qui lui avait demander. Le noiraud s'en sortait plutôt bien. Puis pendant qu'il faisait ses tractions il remarqua que le jeune homme l'avait regarder.Gojyô ferma un instant les yeux et quand il les ouvrit de nouveau il ne vit plus son amant. Il continua alors ses traction et à cause de son obstination il tomba au sol tenant son bras gauche. Il souffrait, il avait atteint ses limite, 50 tractions avec difficulté. C'était plutôt pas mal se dit il. Mais la douleur devenait des plus dur. Son muscle était comme bloqué une crampe? une déchirure? il ne savait pas et surtout il ne pouvait pas y penser. Le jeune homme s'allongea et cria un bon coup. Il ne pouvait que très peu bouger son bras. Le jeune homme regarda son amant avec un sourire moqueur...Pas envers le noiraud mais envers lui même:

"-Tu vois ce que je fais c'est un truc à ne jamais faire...Je dois vraiment avoir une tête qui fait pitié..."

Le jeune homme se foutait bien de sa propre gueule. C'était vraiment bizarre mais pour le plus jeune non. L'enfant tabou essayer au mieux de cacher son moment de faiblesse devant son homme. Alors il repris la paroles, avec une grimace montrant qu'il souffrait atrocement:

"-Tu as réussit...je t'ai vu...je ferais ce que tu veux mon joli!"

La fin de sa phrase fut un peu plus forte que le reste car il tirait sur la douleur. Il venait de voir que c'était une crampe et il voulait la faire passé...Seul moyen tirait pour que le muscle se détende un maximum. Le jeune homme eut un rictus qui montra que la douleur allait en diminuant. Gojyô sourit à son amant qui avait l'air de d'inquiété et finalement la douleur lui passa. Suite à cette douleur au bras il regarda son homme et il sourit de façon des plus joyeuse possible:

"-Bon je ferais ce que tu veux mais avant il faut finir l'entraînement..."

Gojyô se releva mais fut vite arrêter par quelque chose...

Eichi avait observé le sanguin faire son exercice de plus en plus difficilement. Il se retenait vraiment d’aller l’arrêter. Il souffrait, et ça ce voyais ! Pourquoi donc continuait-il ainsi. Il finit par tomber sur le sol sous les yeux d’un Eichi impuissant. Il se leva en quatrième vitesse et s’agenouilla aux côtés du tatoué qui l’informa que ce qu’il venait de faire n’était pas à reproduire. Mais ce n’est pas possible !!!

« Tu es un idiot Gojyô Zetsu ! Quand tu sens que tu dois t’arrêter tu t’arrêtes. Le jour où tu va réellement te blesser t’auras l’air malin tiens ! »

Et le pire, c’est que le plus jeune prenait ça à la rigolade. Eichi fronça les sourcils.

« Je ne t’ai pas déjà dis que tu n’avais pas besoin de te cacher devant moi ? Il me semble que si alors arrête de faire de l’autodérision et dis moi ce que tu as ! »

Le géant repris la parole après avoir fait une grimace qui ne rassura pas le noiraud.

« Tu as réussit...je t'ai vu...je ferais ce que tu veux mon joli! »
« Oui et bien pour le moment on s’en fiche ! »

L’intonation de la fin de la phrase n’était pas la même. Eichi fronça un peu plus les sourcils. Il fit une autre grimace indescriptible aux yeux de son aîné avant de lui sourire. Il finit par porter son regard sur lui en souriant un peu plus.

« Bon je ferais ce que tu veux mais avant il faut finir l'entraînement... »

Finir l’entrainement ? Non mais il n’était pas sérieux ? Alors s’il comptait recommencer ses excentricités après ca c’était hors de question ! Il allait rentrer prendre une douche et se reposer avant le début des cours !

« Je te préviens que si tu recommence a faire le moindre mouvement sportif j’arrête le temps et je t’attache à ton lit ! »

Eichi était très sérieux. Il était hors de question de le laisser faire quoi que ce soit.

Gojyô prenait vraiment un peut tout à la rigolade malgré la douleur de cette crampe vraiment violente. Il fit d'abord une première tête surprise quand Eichi parla:

« Tu es un idiot Gojyô Zetsu ! Quand tu sens que tu
dois t’arrêter tu t’arrêtes. Le jour où tu va réellement te blesser
t’auras l’air malin tiens ! »

Gojyô sourit se n'était qu'une crampe ça aller passer mais le plus âgé continuer à l'engueuler en quelque sorte:

« Je te préviens que si tu recommence a faire le moindre mouvement sportif j’arrête le temps et je t’attache à ton lit ! »

Alors là l'enfant tabou resta bouche bai. Le noiraud venait de lui gueuler dessus comme une jeune femme qui avait peur pour son homme. La crampe lui passa lentement. Quand elle fut partit il pris soin de ne pas trop bouger le bras au cas ou elle reviendrait. En plus avec le temps ses douleurs devenait de plus en plus violente. Le tatoué le savait mais continuer tout de même. Il ne voulait pas arrêté cela pour un petit mal qui augmenter chaque fois. Finalement le sanguin regarda Eichi dans les yeux:

"-Arrête ça va mieux c'était une crampe...Elles sont de plus en plus violente à chaque entraînement...C'est pas la première fois que je me blesse...Comme me disait ma mère autre fois mon fils tu es monté en quitte tel que moi..."

Le jeune homme regarda Eichi dans les yeux et approcha un peut son visage:

"-On ma remis le genoux 3 fois en place...1fois l'épaule droite...Et j'ai eut je ne sais combien de déchirure musculaire...Maintenant c'est des crampes qui sont de plus en plus violente je n'y peut rien et je ne veux pas arrêter ma passion pour cela"

Puis Gojyô repensa au parole de Eichi. L'attacher au lit...le lit...QUOI!!! Attacher au lit!!! Il n'était pas sérieux? Le jeune homme regarda un peut plus son amant qui était des plus sérieux à se sujet. Gojyô pris Eichi par la nuque et l'embrassa langoureusement. Quand il se détacha du jeune homme il lui dit:

"-Je me sert plus de mes bras je frappe un peut dans le sac de sable et après on iras tout les deux prendre une douche...Et par pitié ne m'attache pas au lit....."

Le sanguin se leva il se dirigea vers le sac de cable mais il fut retenu. Il alla pour ouvrir la bouche et donner des exercices physique à son amant, mais celui ci parla avant l'enfant tabou.

Le tatoué resta bouche bée. Il ne bougea plus attendant surement que sa douleur cesse. Cet homme était borné et il allait devoir faire preuve d’autorité pour le faire se reposer.

« Arrête ça va mieux c'était une crampe...Elles sont de plus en plus violente à chaque entraînement...Ce n’est pas la première fois que je me blesse...Comme me disait ma mère autre fois mon fils tu es monté en quitte tel que moi... »

Comment voulait-il qu’il arrête. Quand bien même ce n’était qu’une crampe, ce n’était pas normal qu’elles soient aussi violentes.

« On ma remis le genou 3 fois en place...1fois l'épaule droite...Et j'ai eut je ne sais combien de déchirure musculaire...Maintenant c'est des crampes qui sont de plus en plus violente je n'y peux rien et je ne veux pas arrêter ma passion pour cela »

C’était censé le rassurer ça ? Parce que si c’était le cas, ca n’était pas gagner ! Gojyô semble penser à quelque chose avant de faire une tête bizarre. Eichi était persuadé qu’il avait encore mal. Il l’attrapa par la nuit et l’embrassa langoureusement. Eichi fut légèrement surpris.

« Je me sers plus de mes bras je frappe un peut dans le sac de sable et après on ira tout les deux prendre une douche...Et par pitié ne m'attache pas au lit... »

Le sanguin se leva il se dirigea vers le sac de sable mais il fut retenu. Il alla pour ouvrir la bouche et donner des exercices physiques à son amant, mais celui ci parla avant l'enfant tabou. Eichi se releva et passa ses bars autour de la taille du sanguin.

« Mais tu es têtu ! Je ne te demande pas d’abandonner ta passion. Je te demande de te reposer. Tu t’es blessé et quand bien même ce ne serait pas grave, cette blessure est un signale que te donne ton corps pour que tut t’arrête. Si tu donne des coups de pieds, tu te blesseras autre part. Arrête-toi s’il te plait. On va prendre une douche et on recommencera demain… » lui demanda-t-il d’une voix presque suppliante.

Eichi colla son front contre la poitrine de son homme en se retenant de pleurer.

Le tatoué réconforta son ainé en lui disant qu’il arrêterait. Puis, à l’aide de son index, il releva la tête du noiraud avant de le serrer contre lui et de prendre une voix inquiète pour savoir ce qui n’allait pas. Il serra encore plus fort son amant contre lui et l’embrassa sur le front avant de reprendre la parole :

« Bon écoute tu va te calmer, on va aller prendre une douche à deux, et après on fera tout ce que tu voudras...Mais par pitié ne pleure pas et dit moi qu'est-ce qui ne va pas... »

Eichi secoua la tête pour chasser le semblant de larmes et répondit à sa question.

« Tu n’as rien fait de mal ! Tu es juste têtu. C’est à cause de leur acharnement que j’ai perdu mes parents biologiques et Naoki. Je ne veux pas te perdre aussi. Même si tu penses que ce n’est pas grave car ce n’est que du sport, je suis persuader que tu peux avoir des problèmes de santé plus grave si tu forces trop ! Surtout qu’en plus tu as ce pouvoir qui risque d’enflammer une pièce et peut être de te tuer. »

Eichi avait dit tout ca rapidement. Il se mit sur la pointe des pieds et embrassa son homme durant plusieurs secondes.

« On va la prendre cette douche ? » lança-t-il alors d’un ton moqueur.