Une visite compréhensive [PV : Eichi !] /Terminé\

Naho juste devant le musée de la ville. Elle ne savait que faire de sa journée, étant dimanche et donc aucun cours. Elle rentra dans le l'architecture, commençant à sortir un billet de son porte-monnaie en cuir. Le guichet lui répondu d'un sourire amical avant de pointer du doigt une affiche collée avec du scotch.

" Lundi : 9h30 - 12h 14h30 - 18h.
Mardi : 9h30 - 12h 14h30 - 18h.
Mercredi : 9h30 - 12h 14h30 - 19h30.
Jeudi : 9h30 - 12h 14h30 - 18h.
Vendredi : 9h30 - 12h 14h30 - 17h.
Samedi : 9h30 - 12h 14h30 - 17h.
Dimanche* : 9h30 - 12h.

* L'entrée est gratuite ce jour là. "

Elle remit son billet en place tout en échangeant un sourire neutre et le remerciant. Elle entra dans le tourniqué par le billet, gratuit donc, que lui avait fourni l'homme avant qu'elle ne continue son chemin. Elle était habillé du tunique de couleur violette aux motifs variés, un collant gris et des bottines grises. Il pleuvait aujourd'hui alors elle s'était muni d'une veste en jean cintrée.

Naho arriva dans la première pièce. Sculptures, tableaux et autres accessoires d'un passé éloigné s'offrait à elle. Passant tout en vue, la jeune fille ne se lassait pas, voulant à certaines fois toucher mais se l'interdisait...
Le plein de vie passée, de couleur, d'émotion lui faisait du bien. Elle lui rappelait le comment elle était en vie. Son œil fut accroché par un tableau très bizarre. Un dame aux cheveux longs et verts.... Arborant une aura mystérieuse tout autour d'elle, les mains jointes laissant apparaitre une lumière bleu dansant avec la rouge tout autour d'elle. La jeune femme regarda autour d'elle, inquiète, puis posa son regard sur la date, l'auteur, ou quelque chose d'indication. Mais rien, comme si le tableau n'était répertorié. Changeant de salle, pour trouver quelqu'un et demander une information sur cela, elle ne fut satisfaite. Elle retourna là ou le tableau était, et il avait mystérieusement disparut. Elle mit sa main sur sa joue en fronçant les sourcils, perdue. Elle croyait en la magie, et ce qui c'était passé n'était pas une illusion.

Le garçon qu'elle avait croisé à la plage était là lui aussi, elle le regarda perplexe, sans agir, la laissant dans une confusion totale.

[Hors RP: On va donc dire que j'ai passé un savon à Gojyo, donc on fait tout comme.]

Eichi s’était rendu au musée. Il aimait bien la peinture et la sculpture et adorait se balader dans l’aile est du musée, celle réservé au pharaon. Mais aujourd’hui, il avait décidé de se balader dans la partie réservé à la renaissance. Il aperçut alors une peinture, une femme aux cheveux verts. Il se dit qu’il irait l’examiner un peu plus tard et se concentra sur le tableau de Nicolas Poussin. Puis, il défila devant les autres œuvres avant de se retourner pour examiner le tableau à la femme aux cheveux verts. Mais quand il retourna ou le tableau était exposé et il se rendit compte qu’il avait disparu. Une jeune femme se tenait elle aussi devant l’emplacement ou il se trouvait quelques instants plus tôt. Une jeune femme assez grande et plutôt mince, sa peau claire faisait ressortir ses long cheveux couleur prairie et ses deux iris dorés. Il la reconnu aussitôt. C’était la jeune femme qu’il avait vu sur la plage le jour du feu d’artifice. Il allait partir lorsqu’il remarqua qu’elle l’avait vu. Il s’avança vers elle d’un pas mal assuré. Arrivé à sa hauteur, il la salua.

« Bonjour, je suis Toruyama Eichi. Il me semble que nous sommes tous deux élèves à Yoru… »

Il se gratta ensuite l’arrière du crâne. C’était aussi la femme qui sortait avec Gojyô a ce moment la. Il espérait qu’il pourrait quand même avoir une bonne relation mais il en doutait un peu…

Elle passa une main pour relever ses cheveux avant de le contempler. Parfaitement charmant. Elle comprenait tout à fait comment Gojyô avait pu partir avec lui. Elle semblait désormais plus intrigué par le garçon qui se présentait à elle que pour le tableau qui manquait bizarrement à l'appel.

_ Je suis Naho, mais je suppose que tu savais mon identité, comme le fait que je suis du pensionnat. Annonça-t-elle d'un ton presque froid.

Elle se retourna sur l'emplacement du tableau dont la femme lui ressemblait étrangement... Ses pupilles se contractèrent d'incompréhension avant de le faire partager au garçon :

_ N'aurais-tu pas vu le tableau ? Je ne suis pas réellement sereine et je compte bien m'en informer.

Elle le regarda, perplexe avant d'ajouter qu'elle irait jusqu'au bout pour savoir ce qu'il était devenu, quitte même à ne pas respecter toutes les règles.

Le silence qui régnait dans se musée était devenue presque glauque. Elle était tout de même rassurée de voir un visage familier, même s'il ne l'était pas pour les bonnes raisons, elle aurait aimé le connaitre, sans que Gojyô y soit pour une raison quelconque.
Elle commença à avancer d'un pas sur d'elle dans une autre pièce, avant de se retourner et de regarder Eichi et lui faire un signe de la tête pour qu'il l'accompagna.
En signe de respect, elle lui lança un sourire, bref mais sincère.

[Je t'emmène dans une idée complètement démente, et j'espère que tu vas totalement apprécié, si l'aventure te tente ! ]

La jeune femme fit voler ses cheveux d’une seule main avant de reporter son regard sur Eichi

_ Je suis Naho, mais je suppose que tu savais mon identité, comme le fait que je suis du pensionnat. Annonça-t-elle d'un ton presque froid.

Le ton de la voix fit frissonner le noiraud. Il savait bien qu’elle ne serait pas tendre avec lui… Il ne l’aurait pas été non plus s’il avait été à sa place. Elle fit un demi-tour sur elle-même pour faire face à l’emplacement vide du tableau.

_ N'aurais-tu pas vu le tableau ? Je ne suis pas réellement sereine et je compte bien m'en informer.
« Je savais bien que je n’avais pas rêver ! Je commençais sérieusement à en douter ! » pensa le noiraud

Elle lui lança un regard perplexe avait d’ajouter d’un ton déterminer qu’elle ne laisserait pas l’affaire en plan et qu’elle irait au bout pour le retrouver.

Le silence qui s’était installé devenait pesant. La présence de Naho le mettait un peu mal à l’aise, il ne s’était jamais réellement parler et il lui avait déjà fait une crasse. Il s’en voulait un peu mais ca avait été plus fort que lui. Il aurait aimé la rencontrer dans d’autre circonstance.
Elle s’éloigna de lui sans un mot. Après tout, il s’en doutait !
Puis, elle se retourna d’un coup faisant voler ses longs cheveux verts et fit un signe de tête au jeune homme pour qu’il la suive avant de lui sourire. Pas pour autant rassurer, le garçon la suivie.

« Ou allons nous ? Vous croyez que le conservateur sait quelque chose à ce propos ? »

Elle zigzaguait entre les pièces de différentes époques, sans pour autant y prêter attention. Tout ce qu'elle souhaitait était de croiser ce fameux tableau. C'était elle... Et son pouvoir. Elle fixait Eichi, se demandant si il avait comprit le tableau, la comparaison. Elle lui demanda pour s'assurer.

_ Dis moi, es-ce que tu as bien vu ce tableau ?

Ils continuèrent de vaguer entre plusieurs pièces, puis une caméra de surveillance était là. Naho la fixa quelques instants avant d'avoir l'idée qui lui permettrait de comprendre le comment du pourquoi. Elle attrapa le garçon par le poignet pour le presser en lui expliquant l'idée des caméras de surveillance. Les deux lycéens se retrouvèrent sur une porte où l'écritau était très lisible.

" Défense d'entrer sous peine de problèmes très sérieux. "

Elle mit la main sur la poignet avant de fermer les yeux et de tourner doucement la poignet. Fermée. Elle regarda autour d'elle, puis d'une main glacée, elle condamna le verrou à céder sous la torture du froid. Elle prit un recul important et d'un coup d'épaule, la porte s'ouvrit en entière. Elle regarda le garçon avant de lui faire promettre d'oublier ce qu'il venait de voir. La pièce était vide, et les caméras fonctionnent, du moins, toute sauf une, celle de la renaissance. Une grossièreté sorti de la bouche de la demoiselle, contrastant à son allure raffinée.
Elle s'assit sur le siège en cuir, poussant tout ce qui se trouvait de non utile sur le bureau pour faire plusieurs manipulations.

_ Rentre et ferme la porte s'il te plait. J'en ai pour un moment.

Les minutes s'engrenèrent lentement. Le stress de se faire prendre grandissait à chaque instant. La demoiselle s'exclama enfin avant de pousser un 'hourra !'.
L'image de la caméra se mit en place. Un garçon arriva dans la salle, pas plus grand qu'Eichi, roux et aux larges épaules. Il regarda la caméra et d'un bref coup de main en l'air et un sourire tendancieux, la caméra se brouilla, comme désactivée.

_ Putain, c'est quoi ce délire ?!

La jeune femme l’emmenait de salle en salle sans prendre la peine d’admirer les magnifiques œuvres présente dans le musée. Il n’empêchait qu’elle regardait toutes les œuvres cherchant surement après la peinture disparue. Eichi aurait bien arrêté le temps mais il ne savait pas si elle était spéciale ou normale. Il décida de ne rien faire pour le moment. Puis, elle s’arrêta et le fixa quelques secondes avant de prendre la parole.

_ Dis moi, es-ce que tu as bien vu ce tableau ?
« Héhé, la question qui tue. »
« Je vous ai vu sur ce tableau si telle est la question. » lui répondit-il franchement.

Ils continuèrent de vaguer entre plusieurs pièces, puis la jeune femme s’arrêta face à une caméra de vidéo surveillance. Elle prit le poignet d’Eichi qui sursauta a se contacte inattendu et l’emmena a sa suite en lui expliquant son idée. Puis, ils se retrouvèrent devant une porte en fer ou était apposer une affiche :


« Pas que je sois un peureux, mais je pense qu’il vaudrait mieux soit s’arrêter soir figer le temps. » pensa le noiraud. « Mais je n’ai pas envie de me faire expulser parce que j’aurais monté mon pouvoir à une étudiante normale… Quoi que je ne la sente pas très… Normale… On verra bien pour le moment… »

Il sortit de ses pensées quand il entendit qu’elle essayait d’ouvrir la porte. Puis, il ne compris pas trop comment mais elle réussit à geler le verrou et a le faire exploser en donnant un coup d’épaule dedans. Ok, elle est spéciale. Eichi allait lui proposer d’arrêter le temps quand elle lui fit promettre d’oublier ca. Il la regarda entrer dans la pièce d’un air blasé. Les écrans de vidéo surveillance étaient tous allumé sauf un. Celui de la pièce ou ils se trouvaient précédemment. Elle poussa un juron qui fit sursauter le jeune homme avant de lui adresser la parole d’une voix lointaine.

_ Rentre et ferme la porte s'il te plait. J'en ai pour un moment.

Eichi s’exécuta et prit place sur une caisse non loin de la jeune femme. Il aurait bien voulu stopper le temps maintenant mais s’il le faisait il devait la toucher et il ne pensait pas qu’elle soit heureuse d’être surprise de cette façon. Les minutes s’écoulèrent alors lentement, le seul son présent dans la pièce étant celui des doigts de la jeune femme tapant sur les ordinateurs. Elle finit par pousser un cri de victoire et Eichi se leva pour se rapprocher.
L'image de la caméra se mit en place. Un garçon arriva dans la salle, pas plus grand qu'Eichi, roux et aux larges épaules. Il regarda la caméra et d'un bref coup de main en l'air et un sourire tendancieux, la caméra se brouilla, comme désactivée.

_ Putain, c'est quoi ce délire ?!
« On se calme ! C’est frustrant ok mais pour le moment on risque de se faire chopper à tout moment alors je vous propose d’arrêter le temps. Mais pour ce faire, il faut que vous me donniez la main ! »

Eichi était sérieux. Il savait bien qu’il aurait du le faire avant mais ses rapports avec la jeune femme étant plutôt compliqué et la concentration dont elle avait fait preuve l’avait dissuadé de l’interrompre. Mais maintenant il était très sérieux. Il voulait savoir ce qu’était exactement ce tableau et qui s’en était emparé.

Il l'avait remarquée sur le tableau, rendant Naho beaucoup moins sûr d'elle. Elle ne pouvait rien lui expliquer, elle-même ne comprenant absolument pas la situation.

Ce qui déstabilisa un peu plus les deux adolescents avait été ses images sur la caméra. Qui montrait que face à eux se trouvait un magicien. Elle rechercha dans sa mémoire mais rien indiquait l'inconnu comme quelqu'un qu'elle avait déjà rencontré ou même vu. Rien ne la rattachait donc, pour sa part, à ce garçon audacieux. Elle garda sa réflexion pour elle avant qu'Eichi lui propose d'arrêter le temps. Elle le regarda attentivement, toute aide ne pouvait être que la bien venue.

_ Combien de temps dure ce pouvoir ? Questionna-t-elle en lui tendant la main.

Les images se bloquèrent après leur contacte, comme si les écrans était mit sur pose tout simplement. Perplexe Naho sortit de la pièce, regardant autour d'elle, mais personne pour vérifier ce bien mystérieux pouvoir. Ils s'avencèrent d'un pas rapide même si l'enjeu n'était désormais plus le temps. Ils arrivèrent devant un escalier. L'un descendait pendant que l'autre montait.

_ Quel ingénieux tour de magie futile ! L'arrêt du temps !

Naho regarda l'escalier. Pas moyen de savoir si l'écho venait de l'enfer ou du paradis. Tout ce qu'ils savaient à présent c'est qu'il en était insensible, peut être à cause de la distance, et qu'il était toujours présent ici Son yeux dévala les escaliers, qui sombrait dans l'obscurité. Dans chaque film ou roman d'horreur, la solution aurait été donc le bas, et si il faisait l'inverse ? Elle attrapa de nouveau le poignet du garçon en l'emmenant dans les escalier du haut. Elle monta de quatre à quatre les marches, avec une souplesse qu'elle cachait.
Le première étage donnait sur une réserve à la porte fermé, comme la précédente pour la salle de surveillance, alors que l'escalier qui montait encore était comme condamné dans le noir.

_ Que faire ? murmura l'adolescente.


_ Je t'attends ma promise, découvre moi sagement.


Un éclair brutal de frisson subvient dans le dos de la demoiselle. En plus il les espionnait, les entendait. Elle regarda Eichi, et son regard lui présenta toutes les excuses les plus sincère de l'emmener dans un tel problème.

_ Combien de temps dure ce pouvoir ? Questionna-t-elle en lui tendant la main.
« Quinze minutes. » annonça-t-il très sérieusement. « Et je ne peux pas le réutilisé avant deux heures. »

Les écrans se stoppèrent et la jeune femme sortit de la pièce perplexe regardant autour d’elle pour chercher quelqu’un ou quelque chose. Il la suivit et ils sortirent du local de surveillance. Ils avancèrent jusqu’au tomber sur un escalier. L’un descendait et l’autre montait.

_ Quel ingénieux tour de magie futile ! L'arrêt du temps !
« Raah ! C’est pas juste ! Pour une fois que mon pouvoir sert a quelque chose, il n’en subit pas les conséquences ! »

Eichi rangeait ! Il pensait qu’en plus des gardes, il arrêterait cet homme roux. Ils ne pouvaient savoir d’où venait la voix puisqu’elle résonnait dans tout le musée. Normalement, on court se cacher dans les sous sols… Parce que mourir pour mourir autant éviter de s’éclater par terre. Surtout qu’il avait faillit en faire les frais avec Kaim la veille. Il allait faire part de la décision la plus judicieuse à ses yeux à la demoiselle lorsqu’elle le prit une fois encore par le poignet et le tira vers le haut.
Elle montait les étages tellement rapidement qu’Eichi avait du mal à la suivre. Il fallait vraiment qu’il recommence le sport ! Ils tombèrent sur une réserve dont la porte était fermée. Eichi se demanda si la jeune femme pouvait réitérer son acte de la première fois.

_ Que faire ? murmura l'adolescente.
_ Je t’ attends ma promise, découvre-moi sagement.

La demoiselle frissonna. Elle lança un regard inquiet dans lequel elle s’excusait de cette péripétie.

« Ne vous inquiétez pas pour moi, je suis solide. C’est après vous qu’il en a ! Je ne sais pas qui c’est mais il ne m’inspire rien de bon ! » essaya-t-il de la rassurer. « Vous croyez que remontez dans le temps nous aidera ? » demanda-t-il sarcastiquement.

[Hors RP : >on est entrain de partir dans un truc de malade!!! xD]

[Hors RP : Accroches toi, j'espère que tu aime ! J'en deviens folle d'idées et tout s'enchaine vite dans mon esprit]


Son pouvoir ne pouvait pas être réutiliser durant se moment. Quelle misère sincèrement.
Ils étaient tout les deux devant la pièce, et tandis que Naho allait réemployer son pouvoir, il lui expliqua autre chose sur le sien.

« Ne vous inquiétez pas pour moi, je suis solide. C’est après vous qu’il en a ! Je ne sais pas qui c’est mais il ne m’inspire rien de bon ! » essaya-t-il de la rassurer. « Vous croyez que remontez dans le temps nous aidera ?

Elle le regarda avant de lui répondre en se mordant les lèvres de réflexion.

_ Garde pour l'instant ton pouvoir. Je pense qu'il ne le craint pas à cause de la distance. Elle posa une main en parallèle à la porte et un éclair de glace jailli de sa main ou chaque doigts était emprisonnés dans un anneau. Tu as un pouvoir immense qu'il faut savoir utiliser à bonne heure. Parle moi en plus. Lui demanda-t-elle d'un ton autoritaire.

Elle donna un coup de pied dans la porte avant qu'elle s'éclata et laisse rentrer la lumière dans la pièce sombre. La réserve leur offra le cadeau le mieux venu qui était d'apprécier. Des armes, qui étaient destinées pour les agents de sécurité mais qui seront empruntées par les deux élèves. Naho en prit un, l'arma comme dans un jeu vidéo avant d'offrir un large sourire à son compagnon de répliquer que c'est comme un jeu vidéo. Elle lui en jeta un à lui aussi. Ils inspectèrent ensemble la salle. La demoiselle aux cheveux verts qu'elle avait noué pour ne pas être dérangé trouva des uniformes. Elle en jeta un au garçon, qui était de sa taille, et se changea devant lui sans aucune pudeur. Ce n'était pas le moment. Elle laissa au sol ses précédents vêtements. Les combinaisons avait les couleurs de l'armée militaire terrestre, noir et kakie, mais ressemblait étrangement à celle des américains en mission d'infiltration. Le garçon avait lui aussi trouvé des choses utiles dont il partagea la découverte avec la demoiselle. Ils sortirent discrètement de la salle balayant les couleurs et montant les escaliers qui étaient comme abandonnés. Une première marche, puis une seconde. Tout semblait solide puis d'une torche, elle éclaira la escalier insalubre. Sa respiration était haletante dans la combinaison chaude de l'armée. Une fois arrivé au second étage, la pièce était entouré de carton, abîmés et poussiéreux. Une toux serra la gorge de la demoiselle car chacun de ses pas relevé une quantité incroyable de poussière.

_ C'est incroyable.... Une telle crase dans un musée.

_ Tout à fait ma belle. N'est-ce pas révoltant ?!

Le tableau était en pleine lumière qu'une fenêtre crasseuse libérait avec difficulté. Un claquement de doigt raisonna dans la pièce obscure et le tableau prit feu. Naho braqua l'arme en direction du tableau et un rire puissant la déstabilisa avant que les flammes accompagnés du tableau ne disparaissait dans un tourbillon blanc. Ses mains tremblaient et son holster revient frotter sa jambe.

_ Regardons rapidement cette salle avant d'affronter le prochain étage. Elle passa une main amical sur Eichi. Et lui avoua qu'elle avait l'impression de rêver, et que si c'était la vérité, elle devenait donc dingue.

_ Garde pour l'instant ton pouvoir. Je pense qu'il ne le craint pas à cause de la distance. Elle posa une main en parallèle à la porte et un éclair de glace jailli de sa main ou chaque doigt était emprisonné dans un anneau. Tu as un pouvoir immense qu'il faut savoir utiliser à bonne heure. Parle-moi en plus. Lui demanda-t-elle d'un ton autoritaire.

La jeune femme ouvrit la porte sous le regard médusé du noiraud. Un pouvoir de glace… Sympa.
La réserve. Baaah, il détestait la poussière, il y était allergique. Il éternua plusieurs fois. Ca n’allait plus s’arrêter maintenant. Elle s’avança et prit un revolver et le chargea avant de faire une réflexion à propos d’un jeu vidéo. Il eut un petit sourire moqueur et attrapa au vol une autre arme. Il avait déjà fait du tir à la carabine dans plusieurs fête foraine et avait été plutôt bon mais les revolvers, il n’en avait jamais touché. Puis, ils ont examiné la pièce sous les éternuements incessants d’Eichi. Puis, Naho tomba sur une caisse d’uniforme. Elle en prit deux et en balança un a Eichi avant de se changer. Il ne fit pas vraiment attention à elle et colla son arme entre ses dents avant de se changer tant bien que mal en retenant les éternuements. Puis, il expliqua son pouvoir à la jeune femme

« Et bien je peux arrêter le temps quinze minutes durant lesquelles la personne que j’ai touché en effectuant l’arrêt et moi-même pouvons nous déplacer à notre guise. Je ne peux pas reproduire l’arrêt du temps immédiatement, il me faut au moins deux heures, comme pour une recharge de portable. Si on utilise que dix minutes maintenant, je pourrais utiliser cinq minutes sans attendre deux heures. Ensuite, je peux faire un retour dans le passé de 12 heures. Il est assez dangereux parce que si je change quelque chose dans le passé, il aura un impacte direct sur le présent. Pareil que pour l’arrêt du temps. Si j’utilise deux heures de retour dans le passé, il me reste dix heures utilisables immédiatement. Par contre une fois les douze heures écoulé, je reviens dans le présent avec la personne, même si je ne la touche pas, et je ne peux plus utiliser mon pouvoir durant quarante huit heures. »

Eichi se garda bien de lui dire que s’il utilisait au maximum les deux dans la même journée, il serait très affaibli et devrait éviter de bouger pendant deux jours. Une fois changer il ouvrit la caisse face a lui et trouva des bombe lacrymogènes, des lampes de poches et des mattraques.* Puis, ils sortirent discrètement et empruntèrent un petit escalier en colimaçon insalubre qui menaçait de s’écrouler sous eux au moindre pas. Il mourrait de chaud la dessous c’était insoutenable. Arriver au second, il entra dans un véritable enfer. Chacun de leur pas soulevaient une couche incroyable de poussière.

_ C'est incroyable.... Une telle crase dans un musée.

_ Tout à fait ma belle. N'est-ce pas révoltant ?!

La voix fit frissonner le noiraud et la jeune femme se tourna d’un coup le révolver braque sur le tableau qu’ils recherchaient avant qu’il ne s’évapore dans un nuage de flammes qui disparurent dans un nuage de fumé. Eichi n’y comprenait plus rien ! La jeune femme de mis à trembler et il posa une main compatissante sur son épaule pour lui signifier qu’il était la et qu’elle pouvait s’appuyant sur lui au sens propre comme au figuré.

_ Regardons rapidement cette salle avant d'affronter le prochain étage. Elle passa une main amicale sur Eichi. Et lui avoua qu'elle avait l'impression de rêver, et que si c'était la vérité, elle devenait donc dingue.



[Hors RP : *Désolé pour la trouvaille de merde ^^’]

Des animaux de tout genre grouillaient ici et là. Des rictus de dégout voulait sortir de Naho de tant à autre qu'elle s'obligea à retenir. Ce n'était pas maintenant qu'il fallait devenir dingue. Elle réfléchi au pouvoir du garçon avant de passer à son tour à la description de son pouvoir. Il fallait mieux qu'il se connaisse tout les deux. Alors qu'il recherchait, elle le stoppa et lui demanda de tendre ses mains, d'une phrase qui aurait mit n'importe qui en confiance.

_ Regarde, de cette main, je lance du froid. Elle posa sa main droite, dont les doigts sont cernés de bague sur la sienne avant de lancer une once délicate de froid. Et de celle-ci.... Sans même finir sa phrase, elle posa sa main sur la gauche de Eichi et lui lança une chaleur enivrante. Mes bijoux canalises mon pouvoir, sans eux, le pouvoir fonctionne en permanance. Mais celui-ci retrouve des forces décuplés. Elle lui montra les bagues en argent pour la froideur et les bracelets en or pour la chaleur. Lorsque j'utilise bien trop ce pouvoir, ma main droite prend elle même le froid. Elle remonta ses manches, pour lui montrer que ses veines prenaient une couleur délicieusement bleutée. Pour la chaleur, des brulures vont apparaitre, engourdir ma main. Et plus je consomme plus les séquelles remonte dans tout mon corps.

Elle lui sourit puis retourna fouiller la salle, l'arme dans sa main. Rien ne se trouvait ici hors mis des débrits écoeurant et poussiéreux. Eichi continuait d'éternuer de temps à autre. Naho en souriait à chaque fois. Heureusement que ce n'était pas de l'infiltration, on serait rapidement entendu.

_ Que tu es belle lorsque tu souris !

Le garçon était là, devant les deux jeune gens. Naho venait de braquer son arme en joue.

_ Comment me connais-tu ?! Ajouta Naho, d'une voix qu'elle ne voulait pas tremblante malgré la situation.

Le garçon s'approcha petit à petit de la jeune fille, les yeux complètement diabolique. Il n'avait pas peur qu'une balle soit tirée. Il était arrivé au niveau de Naho et lui passa une main sur sa joue. La demoiselle d'une voix tremblante expliqua qu'elle ne pouvait pas bouger. Il l'avait bloqué, et cela n'était pas lié au stresse. Puis, ses forces revinrent et la balle fut tirée, la poussant en arrière la vu de la force de la balle. Le garçon fut transpercer dans l'épaule. Il passa ses doigts sur son épaule ensanglantée avant de les mettre dans sa bouche dont un filament de sang sortait au coin de celle-ci.

_ Tu es prête à me tirer dessus. Ma reine, comme tu as changée.

Il disparut dans un brouillard blanc. Aucune tâche n'était au sol, et lorsque Naho regarda son chargeur, il était encore plein. Les deux compagnons d'infortune avait été mené dans une illusion ? Elle décida d'en finir tout de suite, elle avança d'un pas pressé vers l'escalier, en demande à ce que Eichi la suive. La lampe balaya une nouvelle fois l'escalier.

Pendant un instant Eichi cru rêver. L’homme roux était là, devant eux. Et en plus il n’était pas beau. (Ben oui, autant se battre contre un bel homme dans ces situation la…) Enfin, lui ne le trouvait pas beau. Mais vu comment il nommait Naho, ils avaient du être assez proche. Puis, il s’approcha petit à petit de la jeune femme. Elle émit le fait qu’elle ne pouvait plus bouger d’une voix tremblante. L’information atteint le cerveau un peu lentement et il s’avança vers la jeune femme pour la tirer vers lui un peut précipitamment. Elle se débloqua et tira dans l’épaule du « fantôme » avant de se rendre compte qu’elle était contre le torse du jeune homme et de s’en détacher*. Il finit par disparaitre dans le même brouillard blanc qui s’était emparée du tableau et des flammes quelques instants auparavant. Sa camarade ouvrit le chargeur et constata qu’aucune balle n’avait été tirée. Elle se dirigea presque immédiatement vers l’escalier ordonnant à Eichi de la suivre. Elle éclaira encore cet escalier.

« Bon, je veux bien vous aider dans votre quête ou je ne sais quoi mais il va falloir que vous m’expliquiez, Naho-san. » lui lança-t-il sur un ton sérieux et sans retour. « Votre pouvoir est très intéressant et surement très pratique mais je ne voudrais pas que vous vous mettiez en danger pour retrouver ce tableau. A première vue je dirais que c’était un piège et que nous sommes grossièrement tombé dedans, aussi, est-il peut être temps de faire demi-tour très chère. »

Eichi ne parlait pas comme ca habituellement. Il avait, certes, dis la première partie de la phrase mais la seconde n’était pas de lui.


[Hors RP : * Je sais, c'était pas dans ton rp ca lol mais je trouvais que ca le faisais bien alors j'ai testé... ^^" Pour la fin... Un rebondissement de plus... Essaye juste d'éviter de me tirer dessus ;)]

Naho regarda froidement Eichi avant de lui tirer une balle en pleine tête et de le laisser pour mort.

Hm Hm

Naho le regardait perplexe après sa longue phrase. Ce ne pouvait être un piège. Ce tableau avait l'air si réel et ce garçon... La demoiselle et lui avait quelque chose en commun mais quoi ? Et puis qu'est ce qu'était tous ses stupides noms qui lui donnait.

Elle s'approcha d'Eichi avant de lui braquer un regard froid.

_ Tu viens, ou tu me laisse seule.

Elle le regarda perplexe sans rien ajouter ensuite. Elle lui tourna les talons et monta les marches d'un pas sur d'elle. La peur avait été remplacé par sa curiosité malsaine. Elle avait besoin de savoir et ce n'était pas en faisant demi-tour qu'elle comprendrait la situation. La jeune fille avait disparut dans la pénombre de l'escalier pour atteindre le deuxième étage.

_ Tu es... son nouvel esclave ?

Le roux était là, passant son index sous le menton du garçon. Il avait apparut comme par magie. Il attrapa le poignet du garçon pour lui faire lâcher son arme et le plaqua contre une caisse poussieureuse. Il joua de sa main sur le visage et le cou du compagnon de Naho. Ses yeux turquoises plongeaient sans retenu dans ceux du garçon, et une langue passa sur ses lèvres, pleine d'envie.

_ Que te trouve-t-elle ? Tu es si frêle.

Sa main s'égara sous le tee shirt du jeune homme avant de s'arrêter sur sa ceinture. Un craquement de marche se fit entendre avant que l'inconnu roux ne disparaisse. La jeune fille s'approcha d'Eichi en s'excusant

_ Je suis stupide... Je sais que c'est un piège... Mais je ne me rapelle pas de qui il est... Ni de qui je suis pour lui.... J'ai besoin de toi pour m'aider. Elle lui tendit la main en signe d'aide pour se relever de la caisse, mais aussi pour faire un pacte. C'est d'accord ?

Elle souriait chaleureusement, ignorant ce qui venait de se passer.

Elle regard Eichi d’un regard qui lui glaça le sang. Oui, il avait parlé de piège. Mais le reste n’était pas de lui. Elle ne le comprit pas. Il jeta un œil dans la pièce et vit une pendule. Il regarda l’heure de la pendule et celle de sa montre. Elle était identique. S’il remettait le temps en marche, elle s’en rendrait compte, ou du moins il l’espérait. Il relâcha toute sa concentration et remis-en un rien de temps le temps en route.

_ Tu viens, ou tu me laisse seule.

Eichi n’avait pas pu bouger. Il avait pris possession de son corps et elle n’avait pas vu son signe.

_ Tu es... son nouvel esclave ?
« Je ne suis pas un esclave ! Je ne suis qu’un ami… enfin peut-être. »
_ Je ne te crois pas...

L’homme passa son index sous le menton du noiraud qui frissonna de dégout. Il n’aimait pas ca, mais alors pas du tout ! Il se débrouilla pour lui faire lâcher son arma avant de le plaquer contre une caisse poussiéreuse qui fit éternuer le jeune homme. Il descendit son doigt le long du coup du jeune homme et il plongea ses yeux glacials dans ceux du lycéen. Puis il se passa la langue sur les lèvres. Non, Eichi n’aimait pas ca du tout !

_ Que te trouve-t-elle ? Tu es si frêle.
« Frêle toi-même ! » pensa Eichi.

Puis, le rouquin passa sa main sous le tee-shirt du jeune homme qui essayait de se débattre en vain puis, sa main descendit sur la ceinture avant d’être arrêter par un craquement de marche qui arracha a Eichi un soupire de soulagement. Le roux disparu et la jeune femme s’approcha.

_ Je suis stupide... Je sais que c'est un piège... Mais je ne me rappelle pas de qui il est... Ni de qui je suis pour lui.... J'ai besoin de toi pour m'aider. Elle lui tendit la main en signe d'aide pour se relever de la caisse, mais aussi pour faire un pacte. C'est d'accord ?

Elle souriait chaleureusement, ignorant ce qui venait de se passer. Eichi la prit dans ses bras. Il était débarrassé du fantôme pour le moment.

« Tu viens de sauver ma vertu jeune femme ! » lui lança-t-il enthousiaste, puis il la lâcha « Je comprends que tu veuille en savoir plus à propos de ce tableau mais avant de t’embarquer dans une aventure dangereuse, tu ne crois pas qu’il faudrait te renseigner. Demander au conservateur ou chercher dans des ouvrages à la bibliothèque. Je pense bien que ce ne doit pas être facile mais… Il le faudra bien, ca finira pas t’apporter des réponses. Et puis, lorsque tu en sauras plus, nous reviendrons. »

Eichi avait oublié le vouvoiement. Après tout, ils avaient le même âge et ils étaient dans la même galère. Par contre... Il ne pouvait pas réellement parler de vertu...

Il l'avait enlacé comme ça. Sans aucune raison apparente. Ses joues la piquèrent en communion avant de les laisser d'une jolie couleur sang. Elle posa ses mains dans le dos du garçon pour un vrai enlacement.

« Tu viens de sauver ma vertu jeune femme ! » lui lança-t-il enthousiaste, puis il la lâcha « Je comprends que tu veuille en savoir plus à propos de ce tableau mais avant de t’embarquer dans une aventure dangereuse, tu ne crois pas qu’il faudrait te renseigner. Demander au conservateur ou chercher dans des ouvrages à la bibliothèque. Je pense bien que ce ne doit pas être facile mais… Il le faudra bien, ca finira pas t’apporter des réponses. Et puis, lorsque tu en sauras plus, nous reviendrons. »

Il s'était séparé d'elle pendant qu'il parlait. Elle ne comprenait pas en quoi elle avait pu le sauver mais n'en dit rien. Une sensation bizarre vient se longer dans le fond de son ventre, sans véritablement définir ce que ça pouvait être. Elle resta un moment figée avant de s'adosser à la caisse, cherchant dans ses poches de quoi fumer. Mais ça demande fut refusée, sa recherche infructueuse. Dans un soupire elle commença à parler

_ C'est vrai que je devrais faire des recherches. Me préparer. Régénérer ton pouvoir interessant. Elle s'appuya sur l'épaule du garçon et sur la caisse derrière elle pour se soulever et monter dessus. Mais j'ai l'impression d'être si prêt du but en étant si loin aussi.

Quelque chose lui coupa le souffle. Comme si une main étrange lui serrait le cou, mais elle n'en dit rien, tétanisée. Elle sentit des lèvres passer sur les siennes, puis une langue humide. La main de son cou glissa sur sa poitrine et la titilla. D'un geste ferme en face d'elle, elle balaya l'air et l'effet s'arrêta. Une larme glissa sur sa joue. La pression avait été immense en quelques secondes à peine. Et pour une fois, elle n'avait un contrôle sur absolument rien. Elle attrapa le garçon par le cou, et posa sa tête sur son épaule en le serrant dans ses bras. Ses larmes coulaient silencieusement. Elle les laissait s'envoler, avec tout le stress et autres états d'âme subit en une après midi. Sa respiration n'en fut même pas saccadée. Après quelques minutes la jeune fille se releva puis l'embrassa sur la joue.

_ On devrait aller à la bibliothèque de l'école. Il y aura peut être des choses sur des pouvoirs.

Sa boule précédente savait à quoi cela était lié. Elle avait juste besoin d'un peu de chaleur humaine.

Elle sembla chercher quelque chose dans ses poches avant de soupirer de s’appuyer à la caisse. Plutôt une mauvaise idée. Il ne le sentait vraiment pas cet endroit. Il fallait qu’il arrive à la convaincre de sortir d’ici. Il n’avait pas spécialement peur mais il n’était pas rassuré.

_ C'est vrai que je devrais faire des recherches. Me préparer. Régénérer ton pouvoir intéressant. Elle s'appuya sur l'épaule du garçon et sur la caisse derrière elle pour se soulever et monter dessus. Mais j'ai l'impression d'être si prêt du but en étant si loin aussi.

Puis elle se tut d’un coup. Non, quelque chose n’allait pas ! Il tourna la tête vers elle mais n’aperçu rien d’autre que la jeune femme. Puis, elle fit un geste face à elle. Finalement il avait raison ! Il ne fallait pas qu’elle reste la car elle était visée ! Il vit couler une larme, une toute petite larme qui lui fit bien plus de peine à lui. Il n’avait pas réussit à empêcher cet ordure de lui faire du mal. Il ne savait pas exactement ce que venait de lui faire le rouquin mais elle ne pleurait pas pour rien. Elle passa un bras autour du coup d’Eichi et posa sa tète sur l’épaule du jeune homme. Il la serra dans ses bras comme elle l’avait fait quelques instants plutôt. Elle pleurait. Sa respiration la trahissait. Non pas aux yeux de tout le monde mais Eichi le savait pour ne l’avoir que trop bien pratiquer, les pleurs silencieux pouvaient être découvert. Il la laissa pleurer sans jamais rien dire. Elle n’avait pas besoin de sa pensait-il. Puis, quand elle eu finit, elle se redressa et l’embrassa sur la joue. Geste qui, en passant surpris Eichi… Quand bien même il l’aurait aidé aujourd’hui… Il ne s’attendait pas à ce qu’elle soit si… douce… avec lui. Il lui lança un sourire réconfortant et elle reprit la parole.

_ On devrait aller à la bibliothèque de l'école. Il y aura peut être des choses sur des pouvoirs.

Eichi lui sourit. Il ne pouvait pas encore dire qu’il connaissait la bibliothèque par cœur mais :

« Je suis plutôt bon en recherche de doc. Ca me va mieux que de patauger dans toute cette poussière (éternuement) pardon. Et en plus je suis une quiche en sport. Totalement. Je ne tiendrais pas trois minutes lors d’une course poursuite. »

Il s’approcha des escaliers et lui tendit la main pour qu’elle le suive.